" Nous avons été créés quelque part dans le monde souterrain par le Grand Esprit, le Créateur. Il nous a d'abord créé un, puis deux, puis trois. Nous avons été créés égaux, en unité, vivant de manière spirituelle, là où la vie est éternelle. Nous étions heureux et en paix avec nos semblables. "
(Tradition des Indiens Hopi de l'Arizona, Dan Katchongva du Sun Clan - © Hopi Information Network)
Il existe des mondes et des réalités parallèles, peuplés d'une multitude de formes de conscience différentes de la nôtre, et vers lesquels notre chemin nous a menés. Les rencontres que nous y fîmes, indistinctement avec des races involutives ou évolutives, se limitèrent souvent à une simple vision ou au signalement d’une présence sans qu’aucune forme de communication consciente ne puisse être relevée. Ce fut entre autres le cas avec les Mantes (race insectoïde - v. vidéo https://www.youtube.com/watch?v=5NfrTk2MOXU) et les Kingu rouges à cornes (ou Dragons guerriers, milice des Gina'abul - http://www.antonparks.com/main.php?page=inter_humanite). Mais pour d'autres, les échanges furent plus soutenus, comme avec deux humanoïdes en provenance des Pléiades, qui nous firent observer le fonctionnement de leur vaisseau reposant sur l’action d’un couple parèdre. Ces contacts ne seront pas retranscrits pour l'instant. Seules seront évoquées les rencontres signifiantes pour notre évolution. Nos contacts intimes les plus nombreux eurent lieu tout au début de notre aventure dans l'intra-terre. Et plus précisément la Cité El Dorado, telle qu'elle nous fut nommée. Comme pour l'Egypte, nous n'avions ni savoir ni attente à ce sujet. Mais notre mandat semblait être en étroite collaboration avec certains Êtres de ce monde ou agissant à partir de cette réalité. Si nous ne savions mentalement rien de ce que nous allions vivre dans ces dimensions, nous étions cependant sûrs d'une chose : nous n'en étions pas étrangers ! Nous actualisions dans notre espace-temps les expériences que notre conscience multidimensionnelle menait dans d'autres réalités, suivant un plan dont elle seule conserve le secret...
Nous abandonnant à la guidance de notre Soi, nous nous ouvrîmes aux fréquences, vibrations et harmoniques issus d’autres champs de conscience. C'est ainsi que nous permettions l’intégration des informations, dont ils étaient porteurs dans notre présent. Et plus d’une fois nous fûmes bouleversés par ces données nouvelles ! Et plus d’une fois notre raison fut retournée par ces impensables visions, voyages, messages ou contacts liés à l’intraterre ! De sorte que nous fûmes, graduellement mais fermement, transformés. Pourtant. Il ne s’agissait que d’un palier. En nous dépouillant de notre perception limitée de la réalité, nous nous préparions à faire face à d’autres réalités, plus éloignées encore de notre conception. Heureusement, le mental est un outil plastique, il s'adapte et se modèle. La chair par contre (ou l'accès aux cellules/ADN) nécessite une implication sans faille et ce processus est une véritable révolution cellulaire ! Un big-bang corporel ! Nous subissons tous deux, souvent en même temps parfois séparément, des états de fatigue extrême qui durent des heures ou des jours. Avec la sensation d'être complètement "explosés" dès le réveil. Nous avons sans cesse mal au cœur, ainsi que d'intenses migraines. Et notre corps est pris dans une sorte de tourbillon énergétique, qui nous entraîne dans sa ronde. Nous le savons. Ce que nous vivons n'a rien à voir avec une maladie physique quelconque. La danse vibratoire, en cours à ces instants, est toujours le signe d'une mutation cellulaire profonde. En tout cas, une chose s'avérait vraie : nous n'avions pas fini d'en voir de toutes les couleurs !
LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE
Notre conscience multidimensionnelle nous a ouvert plusieurs "fenêtres" sur des réalités situées au centre de la Terre, principalement en cinquième dimension, plus rarement en troisième. Le Savoir s'est donc fait Connaissance et nous pouvons désormais confirmer que la théorie de la Terre creuse est vraie. Le centre de la Terre abrite effectivement de multiples formes de vie et de conscience, qui nous sont pour beaucoup étrangères. Il n’est donc pas uniquement occupé par des courants de magma en perpétuel mouvement, comme veut nous le faire croire la science officielle. Plusieurs études, témoignages et œuvres de fiction passionnants lui ont été consacré et de nombreuses traditions y font directement ou indirectement allusion. Nous ne nous étendrons donc pas sur cette théorie fort ancienne de la Terre creuse, d'excellents sites tel Artivision (http://www.artivision.fr/) ayant depuis longtemps traité plus qu'abondamment le sujet. Pour une bonne introduction, voir le grand classique "La Terre creuse" de Raymond Bernard (pour télécharger le livre en pdf : http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/03/21/Bernard-Raymond-La-Terre-Creuse), "The Smoky God" ("Le Dieu qui fume") de l'écrivain nord-américain Willis George Emerson (traduit en français ici : http://artivision.pagesperso-orange.fr/docs/SmokyGod.html), ainsi que le dossier "Les Mondes creux" d'Anton Parks (http://www.antonparks.com/main.php?page=mondes_creux).
Nous noterons simplement que, dès l'antiquité, de nombreuses civilisations font référence à la Terre creuse, à ses cités et ses habitants. "L'Agartha (ou Agarttha, orthographe adoptée par René Guénon, ou Agharta ou Agarthi ou Asgharta) est un royaume souterrain légendaire présent dans la tradition indienne et amérindienne. Agartha serait un royaume souterrain relié à tous les continents de la Terre par l'intermédiaire d'un vaste réseau de galeries et de tunnels. Cette croyance est très liée au monde du Bouddhisme, mais on la retrouve aussi dans le folklore du Tibet, de la Mongolie, de la Chine, du Turkestan, du Cachemire, de la Perse, de la Russie, de la France, de l'Allemagne, etc..." (http://secretebase.free.fr/civilisations/atlantide/agartha/agartha.htm) Pour les bouddhistes d’Asie centrale, la capitale de l’Agartha est Shambhala, une ville intérieure où règnerait le "Roi du monde", dont le Dalaï Lama serait le représentant sur Terre. Y font aussi référence les Aztèques, les indiens Hopis de l'Arizona et les indiens Macuxi d’Amazonie. Ces derniers affirment qu’ils sont les Gardiens de la Terre Intérieure et qu'ils y avaient accès il y a encore presque cent ans (v. article : http://www.elishean.fr/la-terre-interieure-connue-et-visitee-par-les-amazoniens/).
Nous rappelons aussi les importantes expéditions qui furent organisées au milieu du XXème siècle (1929, 1936, 1947, 1956) dans les pôles par l’amiral Richard Byrd, haut gradé de l’armée États-Unienne. C'est à cette occasion qu'il découvrit probablement les ouvertures arctique (en 1947) et antarctique (en 1956). Au retour de ses deux dernières opérations, il fit nombre de déclarations à la presse et à la radio qui sont depuis passées sous silence. "En janvier 1956, l'amiral Byrd entreprenait une autre exploration, cette fois dans l'Antarctique et parcourait 3700 kms au-delà du pôle sud." ("La Terre Creuse", Raymond Bernard, éditions Albin Michel, 1971, p.30). Nous conseillons de lire son extraordinaire journal de bord lors de son vol arctique du 19 Février 1947 : http://lesmoutonsrebelles.com/le-journal-de-bord-de-lamiral-richard-e-byrd-fev-mars-1947-vol-dexploration-au-dessus-du-pole-nord-la-terre-interieure-mon-journal-secret/. Plus récemment Edward Snowden (https://fr.wikipedia.org/wiki/Edward_Snowden) aurait lancé la vraie/fausse information d’une race d’humanoïdes évolués habitant au centre de la Terre (vidéo en début d'article).
LÀ OÙ BRILLE LE SOLEIL DE CRISTAL !
Un monde radieux et harmonieux, où toutes les formes de manifestation sont en communion, syntonisées (accord de deux circuits résonnant sur la même fréquence) sur les pulsations du Soleil de Cristal qui se trouve au centre de la Terre. Voilà comment nous pourrions, au plus près, résumer la réalité parallèle de cinquième dimension qui s’exprime dans cette part de l’intra-terre que nous avons visitée. Dans ce système de réalité, les êtres sont parfaitement "transparents" à la Vie, c'est à dire en accord avec son flux. Ce que la physicienne Giuliana Conforto (http://www.giulianaconforto.it/?lang=fr) nomme la lumière faible irradie de chacun d’eux comme de toute chose. L’auteur explique, en substance, que la lumière faible est le trait d’union liant la masse obscure et la masse lumineuse de l’Univers. Elle constitue la face lumineuse de la Force électrofaible, qui est elle-même "la Vie cosmique qui génère la forme et les fonctions des niveaux infinis de réalité" (v. L’univers organique, Giuliana Conforto, p.7, 8 et 98). Ce fut d’ailleurs, lors de nos percées dans l'intra-terre, l’un des aspects les plus confondants pour notre mental. La Lumière semblait n'avoir pas de lieu d’origine. Elle venait de toute part, tel un bain occupant tout l’espace et emplissant chaque forme sans être jamais aveuglant. En fait, toute manifestation en ce lieu est semblable à un jaillissement stable de Lumière.
Pour l’humain de troisième dimension ignorant et non encore accoutumé à ce type de perception et d’état, il était (et demeure) difficile de décrire la nature de cette matrice de réalité, d’où nous sont apparus ceux que nous avons nommé les Êtres bleus, l’essentiel continuant bien sûr de nous échapper. Car les fondations de ce Monde vont bien au-delà de ce que nous pourrions appréhender au travers des concepts tels qu'Amour, Paix, Harmonie ou Reconnaissance de la Vie en tout être et en toute chose. Pourtant. Même si leur sens est fort éloigné de cette réalité, ce sont bien ces termes qui nous permettent de nous en approcher au mieux, n’en ayant pas d’autres pour décrire la vibration qui en émane. Et c’est cette sagesse que les Êtres bleus, et ceux qui les accompagnaient, véhiculaient lorsqu’ils pénétraient notre champ de perception, nous provoquant d’intenses effusions d’énergie. L’existence de ce monde de cinquième dimension n’exclut évidemment pas la présence d’autres types de vie dans l’intra-terre. Loin de là ! Compte-tenu du nombre important de témoignages et de recherches effectuées à ce sujet (v. le site très complet de Fred Idylle - http://www.artivision.fr/ - contenant quantité d’analyses méticuleuses et passionnantes reposant sur différents documents historiques), il est clair que le centre de la Terre abrite la vie et que plusieurs civilisations de différentes dimensions de conscience ont pu s’y développer. A ce titre, nous abordons dans le chapitre "Retour aux Origines - Le Message de la Femelle-Serpent" notre rencontre avec une entité reptilienne à polarité féminine, que nous avons surnommée la Reine métal-argent en raison de la couleur de sa fréquence.
NOS MOI-PARALLÈLES DE L'INTRATERRE
Suite à nos recherches, il s'avère qu'il n'est quasiment pas fait mention de la Cité intraterrestre nommée El Dorado (à ne pas confondre avec l'Eldorado des Incas, la légendaire cité de l'or) ainsi que des Êtres bleus. Seuls les citent Olivier de Rouvroy dans son article "Les Peuples du Centre de la Terre : la Mission de la Race Bleue" (http://elishean-portesdutemps.com/la-mission-de-la-race-bleue/), le clairvoyant colombien Samaël Aun Weor dans son livre de 1964 "Les Vaisseaux Cosmiques" et Drunvalo Mechizédek. Selon eux, il existe une race bleue, "des êtres avec une peau d’une belle couleur bleue, possédant une très haute spiritualité et une grande science qui accompliront, dans le futur, une mission transcendantale [...] La partie de la Terre Creuse qu’ils occupent a pour nom El Dorado, et est accessible par l’ouverture du Pôle Sud de notre planète, par opposition à l’Agartha qui, elle, est accessible à partir du Pôle Nord." Là vivrait ce que "les théosophes présentent comme «le Roi du monde» et qu’ils identifient à l’Être de la Terre, perçu par les plus grands télépathes du monde entier comme «l’Homme Bleu» ou «l’Homme en bleu»". Cela semble effectivement confirmer l'existence de la Cité que nous avons visitée, ainsi que l'existence des Êtres bleus que nous avons rencontrés.
Humanoïdes à la peau bleue pâle et plutôt petits de taille (1,60 m au plus), ces entités ont une tête chauve et proéminente par rapport à leur corps. Leur forme ne permet pas de distinguer visuellement les femelles des mâles, suivant nos critères d’évaluation. Pourtant, cette information se trouve instantanément transmise au delà de l’apparence "physique". C’est en 2010, alors que nous vivions dans le sud-est de la France, que nous fûmes en relation avec l’intra-terre à travers la rencontre de ce couple d’Êtres bleus : nos moi-parallèles évoluant dans une autre sphère de conscience probablement située dans le "futur". Nous les vîmes un matin (par l'interférence de nos deux dimensions de réalité) évoluant naturellement dans notre habitation, dialoguant entre eux à proximité du buffet du couloir d'entrée. Ce premier contact nous marqua au point de nous en souvenir distinctement, lorsqu’ils surgirent à nouveau dans notre champ de perception en juillet 2012. Il était plus de midi et nous déjeunions, lorsqu'une sorte de bulle énergétique se forma dans le Zome et un couple d'Êtres bleus apparut et nous salua. Nous leur souhaitâmes la bienvenue et reçûmes en retour une belle effusion d'énergie ! Lors de l'échange qui s’établit entre nous, ils nous firent comprendre qu'ils venaient d'une autre dimension pour nous aider à préparer nos corps et esprits au vécu multidimensionnel.
Nous nous retrouvâmes soudain propulsés dans une salle plus blanche que le cristal, au centre de laquelle se trouvait ce qui nous sembla être un trône entouré d'Êtres ailés. Ce fut notre première vision (v. chapitre "Shamballa, l'Eclatante Cité !"). Puis nous vîmes un oiseau blanc inconnu de nous, tel un Aigle à l'éclat de cristal, survoler une Cité d'une blancheur irréelle. Elle baignait dans une Lumière, qui semblait flamber d'un feu qui ne brûle pas. Et "l'Aigle blanc" survolait la Cité. Et le Soleil, nous avions l'impression qu'il était devant, derrière, partout ! Notre regard s'est ensuite focalisé sur une place, où rayonnait en son centre un grand cristal bleu dont la fonction était particulièrement importante. Nita demanda au couple d'Êtres bleus quelle était l'origine de ce lieu ? Compte tenu de ma difficulté à entrer en contact avec cette dimension lors de ces premières percées, je répétai en litanie jusqu'à ce que Nita me calme : "Au centre de la Terre. Au centre de la Terre. Au centre de la Terre..." tout en tremblant spasmodiquement. Puis, ils précisèrent le nom de cette Cité, dont l'entrée se situerait en Amérique du sud vers la frontière chilienne : El Dorado. A part une incursion en octobre 2014 dans la Cité nommée Telos - bien plus vaste et lumineuse que celle-ci -, nous nous retrouvâmes toujours en El Dorado. C'est en ce lieu que nous devions entendre et être transformés par l'indescriptible Musique qui en émanait. Car c'est en intra-terre que s’origine le Chant de la Terre !
LE CHANT DE LA TERRE
La Terre est une conscience vivante et vibrante. Et Elle Chante ! Un Chant qu'il nous est impossible de décrire, tant ce qui passe à travers cette vibration est extraordinaire ! C'est une pure énergie émanant du centre de la Terre, de ce Soleil de cristal et de cette Cité. Nous comprîmes, et on nous le confirma, que cette fréquence était le Chant (ou l'Appel) de notre Mère Terre se diffusant de l'intérieur de la Terre ! Sans ce Chant venu du Cœur de Cristal de l'intra-terre, sans cette fréquence structurante, il n’y aurait ni création ni mouvement possible à la surface. Tout serait stérile. Chacune de nos visites fut ainsi ponctuée par cette Musique. Elle était parfois accompagnée de chants plus terrestres, amérindiens ou tibétains, semblant relayer à la surface la vibration des profondeurs. Car ces peuples, particulièrement liés à cette dimension de réalité supérieure, sont les émissaires de cette vibration. Cette musique grave (voire infra-grave), ronde (ou concentrique), profonde et longue, nous semblait parfois provenir de gongs ou de tambours géants, de trompes immenses soufflées par des titans, ou encore de marteaux de cristal tout aussi démesurés. Elle agissait sur nos corps, qui entraient en résonance avec elle, et les informait de sa programmation. Ce phénomène de résonance (mécanisme capital de transmission d’information permettant de transgresser les limites illusoires du temps et de l’espace) pouvant se comprendre comme l’aptitude de deux objets ou entités à se faire écho, c’est-à-dire à vibrer à la même fréquence.
A l’époque où nous avons entendu ce Chant, nous n’avions pas connaissance du soleil central cristallin censé se trouver au centre de la Terre, ainsi que des ondes très basses fréquences qui y sont associées. Les recherches entreprises lors de la rédaction de cette Chronique nous ont mené à redécouvrir les écrits de José Arguelles (Le Facteur Maya, Ariane éditions, 2010), évoquant le centre cristallin de la Terre et le développement de la cinquième Terre de cristal (ou future ligne temporelle évolutive). Plus encore. Forte des données de la science (en tout cas de quelques chercheurs sincères), la physicienne Giuliana Conforto affirme qu’au centre de la Terre on retrouverait un cœur cristallin à l’origine d’émissions mesurables d’ondes radio très basses fréquences. Dans Le Petit Soleil (éd. Noesis, 2011, p.76 - http://www.giulianaconforto.it/?p=1279&lang=fr) et parmi d’autres données extrêmement intéressantes, l’auteur indique qu’on "pense les cristaux comme des minéraux sans vie, par contre, ceux-ci pulsent, grandissent et peuvent même se reproduire. La nature sonore d’un cristal nait du mouvement de ses propres atomes, disposés de façon régulière, au sommet d’un réticule géométrique, cristallin. Par sa super-rotation, ses multiples pulsations, ses grandes dimensions, et ses différentes structures cristallines, le cœur cristallin compose une musique très spéciale."
Quoi qu'il en soit, réalité ou non, l’essentiel pour nous fut de ressentir cet Appel, d’en faire l’expérience vibrante, de résonner avec lui et d’ouvrir nos sens internes à l’impensable ! A travers ce Chant, c’est la clé et la tonalité d’une nouvelle partition encore vierge qui nous était délivrée : celle de la Nouvelle Terre portant l’embryon de l’évolution de l’espèce humaine. Ce Chant appelle le bouleversement des consciences dans un retournement catégorique qui permettra, aux confins de la pensée, d’entrevoir un chemin trop longtemps oublié. Celui menant au vaste océan qu'est la conscience multidimensionnelle, profondément intégrée à toutes les manifestations car à l’origine de toutes les créations. Cet Appel ordonne les impulsions programmatiques venues du centre galactique, restructure nos molécules et active des séquences d’ADN afin de désenclaver notre potentiel. Il nous rappelle aussi, à travers cette réalité sensible mais aussi glorieuse métaphore de la terre intérieure, que de toute éternité nous sommes, seuls, les prophètes de tous les possibles comme de tous les ordres probables d’existence. "Si on retire à l’homme l’Eternel - dit la sagesse hébraïque - il reste l’Eternel", et ce sont bien les retrouvailles avec l’Eternel qui sont en jeu ici-et-maintenant. Pour tous ceux qui, même fugacement, ont eu l’intuition de son existence, l’autre Terre est déjà une réalité ! Le retour à l’intérieur (de soi) et l’ouverture du cœur (ou plutôt de la glande pinéale, car c'est là en vérité que se situe le cœur de notre existence terrestre) nous rendent disponible à sa présence. Cette matrice de réalité est à une seconde, à un pas, de notre attention désormais ! Et c’est là, en substance, le message de ce Chant...
TRANSMISSION ET POINT DE COORDINATION
Lors de nos rencontres, les Êtres bleus (nos Moi-parallèles) nous transmirent une information qui, en son temps, eut son importance : celle de l’établissement d’un point de coordination dimensionnel (ou point de convergence harmonique) à l’emplacement du Zome. Nous pouvons en trouver l'explication détaillée dans "L'Enseignement de Seth" de Jane Roberts (Editions J'ai lu, 1991, p.97) : "D'autres types de conscience coexistent dans le même "espace" que celui qu'occupe votre monde. Elles ne perçoivent pas vos objets physiques, leur réalité étant composée d'une structure artificielle différente. Vous ne les percevez pas et d'une façon générale, elles non plus. C'est un fait. Pourtant, en certains points, ces réalités peuvent et doivent coïncider. Ces points ne sont pas perçus comme tels, pourtant les réalités s'y mêlent. Ce sont principalement des points de coordination, mathématiquement purs, source d'une fantastique énergie, et «des points de coordination subordonnés» dont le nombre est important." Nous avons déjà développé ce thème dans "Le Sarcophage d’Anubis, une Onde de Forme". A cette époque, une "porte temporelle" était en cours d’édification au centre de notre lieu d’habitation, nous permettant ainsi d'entrer plus aisément en communication avec d’autres dimensions de réalités. Et ce fut le cas. Cette structure et ce lieu avaient été préparés en ce sens bien avant notre arrivée. Ils étaient appelés, avec notre concours, à porter les vibrations véhiculées par l’intra-terre et notamment l’énergie du cristal bleu, que nous vîmes lors de notre premier voyage en El Dorado.
Parallèlement, ils mirent l’accent sur l’importance de l’ouverture du cœur, dans la perspective du vécu transdimensionnel. Ainsi qu'au troisième œil, qui est à proprement parler le point de fixation du Moi à telle ou telle matrice de réalité, car c’est à travers lui que sont transmises les intentions-pulsations du Soi. Un soir, nous nous retrouvâmes face à face avec ces Êtres bleus, front contre front, et ils nous montraient le troisième œil. Alors que nous les interrogions sur la manière de travailler avec ce centre énergétique, ils pointèrent leur cœur. Ils nous expliquèrent qu'en réalité l'ouverture du troisième œil était complètement lié à l'ouverture du cœur. Le Cœur est Don et typiquement de fréquence féminine. C'est donc par la reliance à cette polarité féminine en soi (que l'on soit homme ou femme) que l'on permet au cœur de s'ouvrir complètement, ce qui influera sur l'équilibre général et permettra toutes les autres ouvertures. Ils ajoutèrent que sans le cœur, il n'y avait pas de possibilité d'expression dans des plans plus subtils. Le Cœur est la Porte. S'il est ouvert, alors la Porte est ouverte et toutes les possibilités d'expression, de communication et de création sur les plans subtils se décuplent.
Pourquoi cette rencontre ? Qu'avait-elle à nous apprendre ? Pourquoi ce voyage en intra-terre ? Que devions-nous y découvrir ? Nous savions que toutes nos expérimentions n'avaient pour but que de retrouver la mémoire des vies parallèles utiles à cette expérience et nécessaires au rôle que nous sommes appelés à jouer sur cette ligne temporelle présente : la réunification de certains de nos Moi et l'édification d'une fréquence essentielle à cette fin de cycle. Ces pérégrinations dans l'intra-terre étaient-elles un aperçu d’un système de réalité "futur" dans lequel l’humanité, libérée de l’acquittement des lourdes dettes karmiques que l’on sait, aurait évolué "favorablement" dans une autre densité ? En effet. Ces percées intraterrestres nous donnèrent à percevoir une communauté tellement intégrée, qu’elle semblait constituer une unité avec son environnement et les autres manifestations de vie. Si l’existence de cette réalité parallèle ne signifie pas qu’il s’agisse du seul futur possible - puisque différents scénarios d’évolution de l’espèce peuvent cohabiter et il en est de plus sombres ! -, c’est bien dans ce contexte que s’est établi ce que nous interprétons aujourd’hui comme une véritable collaboration transdimensionnelle avec nos Moi-parallèles (les Êtres bleus et leur monde). Au même titre que celle qui nous lie avec les Sauriens !
Les objectifs de nos expérimentations étaient donc clairs. Premièrement, accéder au souvenir de nos origines et de ce que nous étions véritablement. Deuxièmement, communiquer avec de multiples Moi et autres entités vivant sur des plans de conscience différents. Ceci afin de corporiser la connaissance nécessaire au déploiement d'une fréquence "personnelle" évolutive, indispensable à l'accompagnement de cette fin de cycle terrestre. Pourtant. Nous étions bien loin de nous douter de l’importance et du côté ardu de la tâche ! Appréhender le vécu multidimensionnel dans une partie de sa totalité : cela n’avait en vérité que peu de sens. Nos contacts intimes avec l’intra-terre marquèrent le début de notre apprentissage de cette réalité transdimensionnelle. Nous dûmes apprendre à nous mouvoir, d’heure en heure, avec quantité de données nouvelles issues d’autres parts de notre conscience multidimensionnelle. Et abandonner bien des références humaines, ainsi que notre état d'être au monde, au cours d’un processus de dépersonnalisation chaotique et conflictuel, mais en perpétuel devenir. Au jour où nous écrivons ces lignes, dans le chaos social de cette fin 2017, rien n'est établi ! Rien n'est finalisé ! Les heures sont sombres et l'avenir incertain. Pourtant. Rappelons-nous que c'est au cœur de la nuit la plus noire que l'Aube prend son essor...
AVÈNEMENT DU FEMININ SOLAIRE ET TRANSFORMATION PLANÉTAIRE
" Et le Soleil intérieur brillera au-dehors comme au-dedans... "
Le déploiement de cette nouvelle réalité d’existence - dans laquelle l’intérieur et la surface de la Terre (tout comme les entrailles et la peau des êtres vivants) seront (re)unifiés parce que (re)liés à la conscience même de leur identité multidimensionnelle - repose sur l’avènement du Féminin solaire. Si l’on a bien entendu les multiples intentions portées par les visions et messages de l’intra-terre, cette fréquence-mère est appelée à jouer un rôle structurant et fondateur dans le cadre de ce nouveau cycle d’expérimentations, dans lequel une partie de l’humanité s’engouffre d’ores et déjà. C’est cet appel et ce rappel, qui constituent pour nous le sens de l’apocalypse. A plusieurs reprises, on nous fit observer le lien existant entre la Terre, la Mère et le Féminin. Il s'agit de l’expression d’une même dimension de l’Être : la matrice primordiale qui porte, sans aucune distinction, toutes les formes de Vie. Potentiel zéro, créant et incréé, la Mère-matrice est source de toute manifestation, car c’est à travers Sa Voix/Voie que s’immisce le Vivant. Cette Voix/Voie de la Vie est ce que le patriarcat dominant a tenté d'étouffer pendant des millénaires sans pouvoir pourtant jamais l'éteindre. C'est ce que nous appelons dans notre réalité de troisième dimension : le Saint-Esprit ! Cette polarité stable de l’Être autour de laquelle s’ordonnent les figures du couple Père-Fils dans le symbole tri-unitaire associé à notre réalité. La vision de l’Aigle-Oiseau de cristal dans l'intra-terre signe clairement le retour de l’Esprit-Saint à la surface de la Terre, ou plutôt dans cette nouvelle matrice de réalité en cours de gestation.
Message reçu le 12 août 2012 des Êtres bleus de l'intra-terre :
"L'Aigle de Cristal est notre symbole. Il dispense Amour et Conscience à l'humanité. Les Êtres qui sont au centre de la Terre soutiennent le monde en équilibrant les énergies vibratoires, celles de la surface sont compensées par celles du bas. C'est comme ça que notre monde a pu fonctionner jusqu'à maintenant, mais il est temps de révéler à l'humanité l'existence de l'Aigle Blanc, la pure conscience remontant à la surface, car c'est à-travers ce rappel à la Terre que le renouveau pourra éclore. C'est cette connexion que nous vous avons transmise il y a peu. Votre monde et le nôtre sont appelés à collaborer, sont appelés à se réunifier. C'est de cela que notre enseignement parle." Qu’est-ce à dire sinon que le déploiement de cette nouvelle réalité d’existence s’opérera en lien avec les immuables principes portés par le Féminin ? Le retour à l’Unité passe par la reconnaissance de Sa Voie...
" Et Celles qui étaient au début seront à la fin... "
C’est aux anciennes Faiseuses de Vie - elles se reconnaitront - affiliées aux multiples branches de la race de l’Antique Serpent d’initier ce mouvement, car leur communauté se reforme ! Elles qui n’avaient pu (du moins en grande partie) présider au développement de l’humanité (parce que celle-ci fut d’emblée née esclave des forces involutives patriarcales) dans le respect des principes dont elles sont, seules, les dépositaires sont désormais appelées à organiser ce nouveau début (v. l'excellent article de Jacques-Gérard Vésone sur les Mères Divines, La Grande Révélation : http://la-grande-revelation.revolublog.com/les-vierges-noires-ou-meres-divines-a1783150). Ce premier cycle de 300.000 ans fut l’occasion pour le type homo, toujours sous la houlette (discrète par nécessité) des Planificateurs galactiques, d’expurger les puissants déséquilibres (tels qu’illustrés par les écrits d’Anton Parks) nés au sein de la famille Gina’abul. La vie humaine, particulièrement courte et violente dans un monde semblable à un asile de fous à ciel ouvert, était toute indiquée pour porter cette expérience salvatrice pour les uns et nécessaire pour les autres. Le Maître d’alors (la race reptilienne Gina’abul) devenant ainsi l’esclave de la forme (le type homo) que lui-même créa. Ceci afin d’éprouver les conséquences de ses actes et d'en tirer parti dans son propre ordre d’expérimentation, dans un monde complètement coupé de la communauté galactique pour les besoins de cette évolution. Nous y reviendrons de façon plus détaillée dans les chapitres à venir de "L'Oeuvre au Blanc".
Une partie des humains se trouve actuellement au bout de ce chemin, car, comme nous avons pu le comprendre, lorsque le début réapparaît, c’est que la fin est proche. Voilà pourquoi nombre de mémoires affleurent désormais à la conscience de certains, s’éprouvent dans le quotidien et deviennent explicites. A-travers ce partenariat privilégié de l’humain et du saurien, se révèle la trame magistrale de ce plan de rédemption. Articulé sur de multiples niveaux de réalité et de conscience, il remonte à l’acte fondateur de la Sainte Barbelô (voir Anton Parks, "Le livre de Nuréa" : http://www.antonparks.com/main.php?page=nurea), dans des temps inimaginablement lointains et pourtant si proches, car toujours actualisés dans notre présent. C'est ainsi qu'au-delà de tout entendement, l’Alpha rejoint l’Omega dans l’écho de cette émanation de la fréquence ancestrale que Nita réceptionna il y a plusieurs années, donnant ainsi forme à l’Ark-an-Tara. Œuvre de Réconciliation. Pont entre les Mondes. Lien entre l’Antre et la Surface. Et Retour à l’Un à-travers la polarité féminine, ultime et unique essence du Vivant...
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