• Les Reptiliens sortent de l'Ombre - Le Drame Originel

    Les Reptiliens sortent de l'Ombre - Le Drame Originel " Pauvre petit Homme ! N’as-tu toujours pas compris ? Tu seras perdu, encore, tu chuteras, encore, tu seras possédé, encore, si tu persistes à croire que l’on ne peut être élevé dans l’Esprit qu’à travers la Lumière. Et je te rappellerai, oui, implacablement, à ton errance chaque fois que tu rejetteras l’appel de mon nom et le défi qu’il t’impose. Écoute : nul ne peut naître à l’Univers s’il n’est éclairé par l’Ombre. Le lourd fardeau de cet apprentissage, c’est mon peuple qui l’a porté. Nous, les écailleux comme il te plaît de nous nommer, sommes les instructeurs que le destin a placé sur le chemin de ton évolution. Nos luttes légendaires sont devenues tes guerres, nos déséquilibres béants tes propres fractures, nos héros tes archétypes. Le savais-tu ? Oh non ! Ton jugement n’est pas encore à la mesure de l’œuvre. ..."
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  • Stupeur et Tremblements !

     Stupeur et Tremblements ! Ne pouvons-nous jamais être sûrs de qui nous sommes ? Ou de combien nous sommes ? Ces qualités qui nous habitent, ces rêves qui nous hantent, ces pulsions qui nous meuvent, ces désirs qui nous aveuglent, sont-ils nôtres ? Ou sont-ce les traces douces ou amères de ce que nous sommes, aussi, ces autres Nous quelque part dans l'insondable Univers ? Ou bien encore portons-nous sans le savoir une (ou plusieurs) âme, en plus de la nôtre, issue ou non de notre Soi pour un mandat dont nous ne saurions rien ou si peu de choses ? Qui sommes-nous finalement ? Notre marche est littéralement une marche "forcée" à l'aveugle sur un terrain peu usité et souvent bien mal fréquenté. Nous sommes des explorateurs de chemins encore inconnus. Nous ne pouvons plus nous fier aux enseignements du passé, qui ne concernent effectivement que le passé...
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  • La proposition Loris

    La proposition Loris Des deux côtés de la rive, nous avons dit tant de mots, fait tant de gestes qui ne nous appartenaient pas mais que nous nous sommes appropriés. Comme une surimpression constante, persistante, sur notre trame d’existence, la vie de l’Autre affecte notre propre psychisme, nos propres pensées. Au point qu’il nous parut parfois partager la même existence : ses vues sont devenues nos vues, ses désordres nos désordres et vice versa. Alors nous avons chaviré. Oui. Et nous sommes tombés. Oui. Plus d’une fois ! Aride épreuve. Mais le Soi vous porte toujours plus loin. Encore ! Aux limbes du dérèglement des sens. Il n’y a pas d’autre issue que d’apporter la Paix là où était la colère, la Joie là où était la peine, la suggestion d’une perspective nouvelle là où le Regard était brisé, ou bien basculer dans la démence...
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