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- Écrit par Nita-Loris
" Pour ceux qui n'auraient pas lu cette Chronique depuis le début, nous tenons à préciser que le choix d'images décalées et burlesques est voulu. Ce site nous ressemble. De nature enjouée, nous pensons que la Voie est dans la Joie et non l'austérité. Rire de son vécu ne signifie pas le méjuger. Et rire de soi est tout de même plus agréable et plus juste que de se prendre pour un grand Mamamouchi ! "
Sabu/Anubis (Inpou, Anpou, Anoup, ou Anoupou en égyptien ancien et Anubis ou Anoubis en grec ancien) est un dieu funéraire de l'Égypte antique, maître des nécropoles et protecteur des embaumeurs, représenté comme un grand chacal noir ou comme un homme à tête de canidé.
Notre expérimentation n’a en soi rien de plus ni de moins que celle de bien d'autres êtres sur le chemin du retour vers Soi. Qu’avons-nous à ajouter ? Rien, sinon une couleur. Si l’épreuve est identique dans son exigence et sa forme, la manière dont elle se manifeste et se résout est dépendante des êtres en question. Il n’y a là aucun effet de hasard. Cette transformation repose sur notre "potentiel vibratoire", elle prend sa source dans notre hérédité humaine et cosmique, tout en étant étroitement reliée aux énergies cosmotelluriques. Ainsi la Vie fait chaque fois œuvre originale lorsqu’Elle se re-découvre en Elle-même à travers Ses manifestations. Elle s’expérimente dans l’illimité, l’un des traits les plus évidents de Sa nature. Alors que dire de cette couleur ? D’abord, que ce passage nous l’avons vécu à deux, simultanément, à la limite de nos possibilités physiques et mentales. Le couple fut notre meilleur allié et notre plus grand adversaire. Pendant plus de trois ans dans les Pyrénées, des états d’être paradoxaux se sont succédés sur un rythme cahotant, dans un éprouvant va et vient de sensations contrastées, au point que chaque instant nous offrait une vérité nouvelle.
Sous la houlette de Nita, j'appris à me mouvoir dans ce pays sans signe, car elle sait d’instinct la grammaire des états vibratoires. Sans sa science, sans son flair, rien n’eut été possible. Étant plus présente à elle-même que je ne le suis, elle sait nommer et reconnaître dans chaque situation l’enjeu (en-je) énergétique au-delà de l’événement, qui n'est qu'un symptôme aiguillant vers une explication d’ordre non matériel. Cette expérience fut d’autant plus éprouvante que nous la vécûmes en complet isolement dans un lieu qui contribua, telle une chambre d’initiation, à catalyser et exacerber ses effets. Ce processus vibratoire s’est accompagné de nombreux voyages et visions liés à différentes mémoires et à d’autres formes de vie. Se manifestant en dehors de toute volonté ou intention, puisque nous ne maîtrisons en aucun cas leur déploiement, ils se sont empilés comme autant d’éléments d’un puzzle qui restent parfois encore difficiles à assembler. Dans cet amas de données, c’est l’Egypte - l’ancien Pays de Lumière - qui s’est imposée à nous d’emblée, tout comme la vibration d’Anubis qui nous accompagna tout au long de cette mort du "moi". C'est la raison pour laquelle une partie de cette Chronique porte la marque de cette Terre et de Celui qui, Veillant sur le Passage, nous guida vers la Porte de cette antique Sagesse à laquelle nous sommes tous deux liés.
SACRÉES PYRÉNÉES !
Nita et moi avons toujours considéré que l’on peut rencontrer le Vivant dans un cloaque, car Il infuse en toute chose Son essence. Nos Êtres ont cependant choisi d’aller à la rencontre d’eux-mêmes, loin du monde des Hommes, dans la solitude et le silence d’un endroit préservé des tourments de cette fin de temps. Aux pieds des Pyrénées. Le temps de cette révolution intérieure, la destinée nous mandata - dans un petit hameau verdoyant et reculé - d'occuper une habitation octogonale des plus inhabituelles. Celle-ci joua un rôle si important, qu’il est difficile de dissocier la couleur de cette initiation-reconnexion de l'onde de forme où elle fut vécue, ainsi que du lieu où elle est implantée.
Notre demeure temporaire - servant à médiatiser les vibrations-informations issues d’autres ordres de réalités - se situe dans l'antique Aquitaine (s'étendant jadis des Pyrénées à la Garonne jusqu'à l’Océan), dont la parenté de la langue avec le basque est aujourd’hui reconnue. Le village qui nous jouxte fut habité jadis par l'ancienne peuplade des Garoumnes (ou Garumni, Garunni en latin). Ces peuplades liguro-celte et proto-basque étaient regroupées "dans une confédération dont le point stratégique était l’oppidum abritant le sanctuaire du dieu solaire pyrénéen Abellio, au sommet de l’actuelle colline de Saint-Bertrand-de-Comminges. Vers la fin du IIIème siècle avant notre ère, les Volques-Tectosages (des celtes d’origine indo-européenne)
imposèrent leur protectorat à la confédération des Garunni, faisant de l’ancienne citadelle d’Abellio le centre de leur domination. Le site reçut alors le nom celtique de "Lugdunum". "Lugu" (ou "Lug") signifiant lumière et "dunum" hauteur, colline, forteresse. C'était la colline lumineuse, la colline du dieu Lug qui s’était substitué à Abellio comme protecteur des Garunni". (Toponymie du Nebouzan 1° partie, Notes de géographie historique, Pierre Gerard, Conservateur général honoraire du Patrimoine). Il va sans dire que cette région puissante et mystérieuse tint un rôle prépondérant dans notre histoire. Toute la chaîne des Pyrénées est un lieu où se décline une part de l'histoire originelle du monde, et qui jouera sans aucun doute un rôle déterminant dans
l'à-venir. En cette fin d'année 2016 où nous écrivons cette Chronique, nos recherches historiques et géobiologiques ne font que confirmer nos ressentis à ce sujet. Elles feront d'ailleurs l'objet d'un futur chapitre : "Pyrénées, Terre Sacrée". Bien sûr, nous n'avions pas été parachutés sur cette terre par hasard ! Notre arrivée se fit suite à une mutation professionnelle subite, qui aurait pu nous amener n'importe où en France. Mais la vie nous porta là, résolument. Et nous le savions. Depuis longtemps déjà.
LE SARCOPHAGE, LIEU INITIATIQUE
C’est littéralement à l’Appel du Lieu et du Zome (v. plus bas) que Nita répondit ce jour de juillet 2011, et je la suivis malgré mes réticences liées à des considérations pécuniaires. A notre arrivée, sa construction venait à peine d’être achevée et, bien sûr, rien ne se déroula comme nous l’avions imaginé ! Notre installation "définitive" au sein de cette immense onde de forme prit du temps, le temps pour nous de comprendre ce qui se passait et de l'accepter. Car les choses ne furent pas simples dès le départ ! L'environnement était magnifique, notre habitat incroyable et nous étions heureux de ce nouveau départ de vie, mais quelque chose n'allait pas. Nita le sentit de suite. Tout semblait figé, pas un chant d'oiseau, rien ! La nature faisait la morte. Une pesanteur s'abattait sur nous, une chape de plomb nous clouait littéralement au sol et nous nous sentions de plus en plus mal ! Nous espérions que cela change, mais cela continuait. Nous étions comme coincés dans nos egos et une lourdeur, comme un cloaque que jamais nous n'avions ressenti auparavant, nous coupait de tous nos ressentis. Evidemment, nous nous interrogeâmes sur les raisons de notre présence en ce lieu d’où la vie semblait s'être retirée. Nous avions la pénible sensation d'être piégés dans une prison dorée et nous ne nous trompions pas ! La Vie (nos Êtres), juste en toutes circonstances, nous avait bel et bien attirés dans un sarcophage, d'où nous ne "sortirons" que 40 mois plus tard. Exsangues mais transformés !
Sidérée par ce qui nous arrivait et au vu de la particularité du lieu, Nita testa l'habitation avec ses rods (baguettes de détection en géobiologie). Le Zome était énergétiquement telle une bulle : alors que l'intérieur était "ouvert", dès que l'on s'approchait des baies vitrées et des portes tout se "refermait" ! Et c'est l'inverse qui se passait, lorsqu'on le testait du jardin. Sous l'étoile du Zome (v. plus bas), il y avait un vortex mais il vibrait peu. Testé au géodynamètre (outil permettant de mesurer la nature et l'intensité d'une onde de vie), le Zome marquait "0", donc aucune vibration, totalement neutre ! Cela nous confirma ce que nous ressentions. Il devait y avoir un gros problème cosmotellurique dans le lieu et le Zome devait utiliser toute son énergie pour le neutraliser, alors qu'il aurait du vibrer fort et s'expanser. Notre première réaction fut de vouloir prendre nos jambes à notre cou ! Pendant les quatre premiers mois, nous ne déballâmes donc pas nos cartons, pensant devoir déménager au plus vite au vu de ce que nous pensions être un réel problème énergétique. Comme nos pensées créent nos expérimentations - et cela faisait aussi partie de notre initiation - Nita rencontra au même moment un géobiologue suisse, qui accepta de tester le lieu à distance. Et sa réponse alimenta nos inquiétudes : "Le lieu refuse toute construction et ceux qui s'en approchent. Le lieu se défend contre mon test, impossible de pénétrer ! Mais avant de devoir me protéger (dans ce cas plus de test possible), il me semble qu'il y a un gros problème d’implantation, le lieu rejette cette construction et du même coup tous les intrus qui cherchent à s'approcher." Il ajouta : "L'énergie d'un lieu sacré est beaucoup trop puissante pour pouvoir y habiter, de plus elle est souvent totalement instable, très difficile à stabiliser et à utiliser."
Bien que ses dires trouvaient un écho à notre profond malaise, quelque chose ne cadrait pas, quelque chose n'était pas juste et, quoiqu'en pense ce géobiologue (certainement très bon dans sa science), là n'était pas l'explication. Le lieu nous avait réellement appelés et son appel était tout autant puissant que protecteur. Il y avait donc autre chose que nous ne voyions pas encore. Comme à chaque fois que nous nous trouvons dans une impasse, nous avons tout arrêté en nous comme autour de nous. Plus de pensées, plus d'explications, de vouloir, de recherche, bref, plus rien. Nous nous sommes mis le mental en stase et nous avons laissé venir. En nous levant le matin suivant, notre décision s'est imposée d'elle-même. Nous allions défaire nos cartons, nous installer et vivre l'aventure qui nous était proposée, quelle qu'elle soit ! Puisque nous étions là, c'est que cela était juste et nous savions déjà que ce retournement de conscience allait faire se retourner tout autant la situation. Dans un sens ou dans l'autre. Et ainsi fut-il fait ! Le calme revint avec une certaine légèreté, la vie reprit et la compréhension de la situation nous arriva peu de temps après. Il était évident que nous vivions dans un vortex et celui-là était bien plus puissant qu'il n'y paraissait. Malgré que le lieu nous ait appelés, il nous fallait passer le Gardien du Seuil (ou du lieu) afin d'être non seulement acceptés, mais aussi pour qu'il se dévoile énergétiquement. Il était essentiel, et aussi difficile, de se mettre en accord avec ce vortex. Pour comprendre son fonctionnement et pour apprendre à vivre en harmonie avec lui, nous devions d'abord accepter cette position que nous avions appelée, puis effectuer chacun et ensemble un réel travail sur nos parts d'Ombre.
Nous allions très vite comprendre la nécessité de nous dépouiller d'un lourd manteau désormais obsolète - mais qui nous avait permis d’évoluer dans notre "ancienne" existence -, afin de percevoir au mieux ce qui allait nous être donné de vivre. Nous crûmes tout d'abord que la chape de plomb que nous ressentions, exacerbée par les qualités de l'onde de forme dans laquelle nous étions, n'était que le poids que nous portions ! Sacrément lourd ! Trop lourd en vérité pour n'être que cela. Cette chape énergétique si puissante, qui nous tombait littéralement dessus, provenait des énergies du lieu à l'état brut. Chaotiques ! Quant à nous, si une certaine densité énergétique palpable nous avait été indispensable afin de pouvoir survivre au sein d'une grande ville, elle ne nous était plus utile et nous devions nous mettre désormais en accord avec une tout autre fréquence. Ce ne fut pas facile mais indispensable. Cette habitation devait être le lieu de la reconnexion à l’Être, que l’on nomme "initiation", ses qualités vibratoires particulières nous permettant de concentrer sur une courte durée la multitude d’expériences relatée dans cette Chronique. Si nous ne comprenions pas toute la signification de ce qui nous arrivait, notre savoir par contre reposait sur une réalité vibratoire perçue par nos corps sans être intellectualisé ; il était immanent à l’échange énergétique. C’est seulement pour la rédaction de cette Chronique, que nous entreprîmes des recherches afin d’expliquer au mieux cette expérience, la mettant en relation avec des travaux ou données déjà existants. Si nous l'avions gardée pour nous, le simple fait de l’avoir vécu eut suffit : nos cellules en portent encore la marque !
Une chambre de gestation. C’est certainement la meilleure définition de ce que fut le Zome pour nous pendant ces années, car c’est en ce lieu que nous étions appelés à accoucher de nous-mêmes. Renvoyant chaque état émotionnel, amplifiant chaque pensée, il exacerbait les humeurs et exigeait de nous situer. Et c’est bien l’œuvre du 8 (nous vivons dans un Zome 8), l'arcane de La Justice dans le Tarot, la Voie Juste. Sur le fil ! Une vigilance de tous les instants nous était imposée, traçant une direction sans équivoque n'étant autre que la déconstruction du personnage. Et bien des fois nous chutâmes. Et bien des fois il nous sembla perdre la raison. Cette ascèse, nous la vécûmes parfois jusqu’à l’étouffement, parfois jusqu’à l’implosion, à huis clos. Sans contacts avec l’extérieur. Sans possibilité de communiquer quoi que ce soit avec qui que ce soit, car l’essence même de cette expérience échappait à notre compréhension. Et nous souffrîmes de ne pouvoir la partager. Et nous souffrîmes de ne pouvoir la reconnaître chez nos semblables. Mais qui étaient-ils en définitive ? Et qu’étions-nous, enfermés dans ce sarcophage doré qui, comme un miroir, nous plaçait à chaque instant face à nous-mêmes ?
Alors, nous avons évidé, raclé, et puis encore raclé pour mieux évider, pore après pore, cette protubérante vanité : le moi terrestre ! Illusion agissante à laquelle on rattache tout espoir ! Dans la solitude du monologue mental, l’Ombre et la Flamme nous éprouvèrent maintes fois. Bousculant les pensées et les lourds sentiments dans un mouvement insaisissable, elles l’affligèrent de sorte que de mort en mort, de reculade en retraite, il finit par déposer les armes. Brisé par l’indicible, l'impossible réalité trop ample et imprévisible pour donner prise à toute mesure, à tout contrôle. C’est dans ce cycle court d’expérimentation-assimilation - puisque par l’entremise du Zome, il ne dura pas plus de 40 mois - que nous nous sommes approchés de la lumineuse réalité que constitue notre Être. La souffrance réelle mais temporaire, provoquée au moment de l’abandon des formes-pensées constitutives au véhicule incarné, est sans commune mesure avec l’espace conquis à force de morts dans lequel Celui qui Est peut se déployer ! L’initiation, c’est l’Être qui cherche son espace dans le véhicule.
Notre Être multidimensionnel avait bien sûr déjà éprouvé les affres de l’initiation, et c’est certainement pour cette raison que nous pûmes la vivre ainsi. In fine, il s’est agi de réactiver un savoir acquis par nos Moi-parallèles. Cette information nous fut communiquée au moment de la "consécration" du Zome (v. plus bas) par une vision soudaine que j'eus de Nita en Égypte, du temps où les Hommes et les Dieux cohabitaient. Elle se trouvait dans une pièce sous une pyramide, une chambre d'initiation petite et carrée aux murs décorés de divinités égyptiennes. Des hommes aux crânes rasés, habillés de blanc et portant une ceinture d’or étaient présents. Nita, au centre de cette assemblée qu'elle présidait, semblait donner une initiation. Il s'agissait en réalité d'une importante cérémonie, où s'accomplissait la "Connexion de l’Emanation" par la consécration d'une Coupe dorée à la gloire de la Source. A l’intérieur de cette Coupe, un Nectar. La vision se termina par le geste de sacrement de Nita que je mimais, geste que son canal n'avait cessé de faire tout au long de son incarnation actuelle.
LE SARCOPHAGE ET L'ÉNERGIE DE LA SPIRALE
Ignorer qu'en tant que part du Vivant, nous sommes des êtres fondamentalement vibratoires sous influence permanente d'un océan de fréquences, dans lequel nous baignons à chaque instant, serait une belle méprise. Que cet ascendant nous provienne d'êtres visibles ou invisibles, de lieux ou d'ondes de forme, cela est du pareil au même ; nous sommes d'autant plus perméables que nous l'ignorons ou, pire, que nous pensons le maîtriser. Habiter une onde de forme n'est déjà pas en soi un acte anodin, mais lorsque celle-ci est implantée sur un lieu aux qualités opératives, cela entraîne une synergie vibratoire exponentielle affectant toutes les parties. Et c'est bien ce dont nous témoignons. Encore peu diffusés, "les Zomes sont des volumes géométriques composés de losanges agencés en double spirale. Ces formes, très peu connues au début du siècle, ont été mathématiquement codifiées par l'ingénieur Américain Steve Baer dans les années 60. C'est lui qui leur a donné ce nom en associant le ZO de rhombizonaèdre (nom géométrique de cette forme) et le ME de dôme. C'est en 1975 qu'ils apparaissent en France grâce au professeur d'architecture Jean Soum qui les utilisera pour créer de nouveaux prototypes d'habitat. Malgré de belles réalisations, notamment dans le sud-ouest de la France, l'idée reste trop marginale ou bien trop en avance sur son temps." (Yann Lipnick).
La spirale est la représentation d’un système de forces universelles, qui contribue à structurer toutes les manifestations du Vivant et marque le déploiement de la vie à travers ses polarités contradictoires. A l’instar de la molécule d’ADN, lorsqu’elle est au repos, c’est une structure en double spirale qui caractérise les Zomes. En lui même, un tel volume émet une onde de forme bénéfique, car il y a dans le Zome comme dans les pyramides "une concentration d’énergie, qui est positive et qui induit un fort champ de torsion droite. Cela neutralise les nuisances environnementales et les cheminées s’y installent. Un Zome est une excellente forme dynamisante, augmentant de 150 à 200% le champ vital. Il y a aussi au-dessous d’un Zome une « sphère astrale », comme sur les pyramides et menhirs (boule jaune lumineuse)." (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, éd. Trajectoires, 2009).
"Le Zome est un kaléidoscope de conscience. La double spirale qui caractérise le Zome est la combinaison de l'horizontalité et de la verticalité, qui nous aide à atteindre ce niveau de lâcher prise nous permettant d'accéder à l'unité. La verticalité nous amène à la transformation et l'horizontalité à l'amplification. L'horizontalité est davantage liée à l'amplification de ce qui nous empêche de lâcher prise. A ce moment-là, le Zome joue le rôle de révélateur de ce que nous sommes et il peut nous aider à prendre conscience de nos limitations. La verticalité engendre la résonance de ce que nous sommes sur différents niveaux de réalité, nous rentrons là dans la réalité du monde multidimensionnel. Nous vivons à ce moment-là une élévation de notre fréquence vibratoire et rentrons ainsi en osmose avec la fréquence du Zome. Il s'agit tout simplement de lâcher prise." (Extraits interview de Yann Lipnick, "Rencontre avec un physicien, Pierre Piccaluga", http://www.zomes-concept.com/Jinterview.htm)
Niché dans un vallon et implanté sur un réseau géobiologique à la configuration extra-ordinaire (certainement du à sa contiguïté au Haut-Lieu surnommé "Le Mont Saint-Michel des Pyrénées"), le Zome que nous occupons est de forme octogonale avec en son centre une étoile à huit branches. Il a été construit suivant le rapport de la Section d’Or (ou Nombre d’Or), un rapport présent dans tout ce qui est vivant. "Le nombre d’or est le seul rapport qui met en résonance la partie avec le Tout, la créature avec son créateur. La Vie ne peut croître en complexité que si elle dispose d’un récepteur et d’un résonateur capable de capter l’information de la Lumière Divine. Créer un édifice sur le rapport du Nombre d’Or ne le rendra pas réellement vivant, mais va stimuler par résonance notre propre ADN, nos mémoires éthériques et les rendre plus performantes. Le Nombre d’Or n’est pas utilisé pour ses qualités esthétiques, mais surtout pour ses propriétés holographiques." (Stéphane Cardinaux, Géométries Sacrées, T1, éd. Trajectoires, 2004, p.198).
Pour toutes ces raisons, cet habitat dispose de qualités vibratoires qui l’apparente aux lieux sacrés. Longtemps d'ailleurs, nous l’avons considéré comme tel. Si cette pensée, qui porte en elle-même la division, nous a abandonnés depuis des années déjà - car ce que l’on qualifie de sacré n’est souvent qu’une forme de stupéfaction béate face à l’ingénierie des plans subtils perçue, ressentie et observée, mais incompréhensible à notre stade d’évolution -, les qualités vibratoires de cet espace sont une réalité sensible et clairement vérifiable (au moins pour certaines d’entre elles ) d’un point de vue géobiologique. Elles résultent de la relation entre l'onde de forme de la structure, son mode de construction, les forces cosmotelluriques du lieu et la fréquence/mandat de ses occupants. Il en découle, comme pour les temples, une énergie vibratoire spécifique qui amplifie les perceptions extra-sensorielles et facilite la communication avec d’autres plans de réalité. Le Zome fut donc pour nous le véhicule du Passage. Sa structure cristalline nous permit de vivre une initiation/reconnexion à marche forcée et d'entrer en relation avec d'autres manifestations de la Vie, étrangères le plus souvent à notre plan de conscience.
Deux ans après notre installation, nous fîmes faire une étude géobiologique du lieu afin d'en avoir le cœur net. Ce que nous vivions, ce que nous ressentions était trop particulier pour qu'il n'y ait pas d'explication tangible. Ou bien nous étions fous, mais il valait mieux le savoir ! Nous envoyâmes le plan ci-dessus, sans autre explication, à un géobiologue vivant dans le sud-est de la France, que nous ne connaissions pas mais qui nous avait été recommandé. Il ne savait pas qu'il travaillait sur un Zome et ne connaissait nullement ce type de construction. C'est à peine l'étude commencée qu'il nous appela tant il était surpris, pour nous annoncer que nous vivions dans un lieu sacré qui s'apparentait à un temple. La vibration du lieu se situait sur le plan spirituel et vibrait à cette époque à 200.000 Unités Bovis. Quant au rapport cosmotellurique, il était de 12/12, le maximum de l'étalonnage. Cela était déjà plus qu'insolite pour une habitation, mais il y avait autre chose et pas des moindres. Il nous demanda ce qui se trouvait au centre de cette demeure, car tout semblait rayonner de là et ce qu'il y avait trouvé l'interloquait. Il pointait sans le savoir le cœur du Zome, où se situait à huit mètres plus haut l'étoile à huit branches (à 8 mètres, une étoile à 8 branches, dans un octogone !).
Ce centre contient tout ce que l'on peut détecter en géobiologie : une cheminée cosmotellurique, un vortex (non répertorié sur le plan mais bien présent), un point étoile (croisement des réseaux Hartmann et Curry), une faille géologique, un cours d'eau souterrain et un réseau Solaire (ou Or, Peyré) Nord-Sud "sans doute sacralisé" nous dit-il ! Ont aussi été détectées au pendule Equatorial 4 couleurs : au Nord Vert+ Magnétique, au Sud Rouge Magnétique, à l'Est Jaune Magnétique et à l'Ouest Bleu Magnétique. Cette étude nous confirma donc la vision de Loris d'un an auparavant (v. ci-après) ! Vu cette configuration singulière, nous pensons que les points "négatifs" (point étoile, faille, cours d'eau) sont non seulement maîtrisés par le réseau Peyré et le Vortex, mais qu'ils doivent avoir certainement une utilité qui nous dépasse. Par ailleurs, le terrain argileux (et donc conducteur) nous a interpellé. Au lieu que le sol favorise la pénétration des ondes cosmiques et participe ainsi à l'harmonie entre les rayonnements cosmiques et telluriques, ce dernier les réfléchit et les diffuse.
Au vu de la particularité du lieu et de notre trajectoire, nous ne pouvions que trouver une explication hors des sentiers battus. Nous sommes intimement persuadés (et cela nous sera confirmé en "canalisation") que ce fait, en général "néfaste", prend ici une tout autre tournure. Les énergies cosmiques s'engouffrent dans l'onde de forme, qui les imprègne de sa fréquence cristalline avant de les rediffuser à l'extérieur, accomplissant ainsi un rôle de "transformateur" et d'essaimeur de nouvelle fréquence. Bien sûr, nous ne sommes pas géobiologues et nous n'affirmons rien. Nous témoignons juste de ce que nous avons vécu pendant des années dans ce lieu. Nous savons cependant que bien des choses échappent à la mesure de l'Homme et qu'une nouvelle codification est déjà à l'oeuvre, nous demandant d'oser sortir du connu et de nous faire confiance pour aborder un tout nouvel enseignement dans une tout autre réalité. Bien évidemment, chacun reçoit à sa mesure et l'on ne peut percevoir ce que l'on ne contient pas encore. Les lieux ne se voilent ni ne se dévoilent. Ils sont. Et nous ne pouvons apprécier toute la palette de leur fréquence, qu'au diapason de la nôtre.
LE SARCOPHAGE, PORTAIL ÉTHÉRIQUE
Le monde nouveau cohabite avec l’ancien, qui n’en finit plus de dépérir. Alors que celui-ci s’effondre à grands fracas, l’autre se développe en silence, posant les jalons qui détermineront dans un avenir proche l’évolution de la conscience planétaire dans le respect de la loi de l'UN. L’humanité Une, unie par la connaissance de son origine et sa reliance galactique, sera appelée à côtoyer d’autres races dans des espaces vibratoires différentiés. Ces rencontres ont déjà lieu par l’intermédiaire des êtres incarnés qui sont venus jouer ce rôle, celui d’être, en terre étrangère, la tête de pont de la mutation prochaine. Le Zome, de ce point de vue, a été pour Nita et moi le support de ces contacts. L’espace vibratoire formé par cette onde de forme, qui se déploie très largement tout autour, constitue une zone d’accueil, de passage, un point de rencontre avec d’autres manifestations de Vie, généralement issues d’autres plans d’existence. Précisons. La convergence entre différentes civilisations, sagesses et énergies, ainsi que d'autres modes de pensée n’est pas le fait du Zome mais d’une conjonction d’influences entre la structure, son implantation, sa situation plus globale dans la région, et à travers notre collaboration plus ou moins consciente.
Les qualités vibratoires du lieu se constituèrent par étapes et nos Êtres (ou Soi supérieurs), habitant nos intentions et nos gestes, y contribuèrent selon la part qu’il leur revenait. Tout commença fin juillet 2012 par une vision inattendue de la "Vierge Marie" ! S'il ne fait aucun doute à ce jour que ce n'était là qu'une image-référence acceptable par notre mental de l'époque, d'où nous venait cette vision et qui se cachait réellement derrière ? Le regard tourné vers le haut d'où émanait un Rayon Source, elle était vêtue d'une robe bleue foncée, portait un bouquet de roses rouges-pourpres à la main et derrière elle partaient des Rayons bleus. Le lendemain vers midi, la même vision réapparut. Nous la vîmes alors répandre des milliers de roses à l'intérieur et tout autour du Zome. Toute la terrasse était jonchée de roses, tout le jardin, tout l'espace autour du Zome et cette pluie de roses rouges-pourpres formait comme une cloche autour de l'habitation. Nous reçûmes que le lieu était consacré et qu'il était en train de s'activer. Puis quatre colonnes de couleurs, partant du centre de la terre, s'élevèrent aux quatre points cardinaux : le bleu à l'ouest, le jaune à l'est, le rouge au sud et le vert au nord (les 4 couleurs détectées en géobiologie). Elles se rejoignaient à l'étoile centrale pour donner naissance à une cloche cristalline s'étendant à une dizaine de mètres autour de la structure. Enfin elles changèrent d'aspect et se transformèrent en une lumière argent-cristal, qui descendit le long des parois. Une porte énergétique était en train de s'ouvrir.
Cette structure cristalline, dont la géométrie se superposait à celle du Zome, se métamorphosait en "sas" et délimitait ainsi un certain champ vibratoire. Nous entendîmes alors que nous allions être visités par des Êtres véhiculant de hautes fréquences (cela fut répété deux fois) et que la structure énergétique qui prenait place était nécessaire afin de pouvoir les réceptionner. Elle n'était là qu'en tant que médiation, car nous ne pouvions pour l'instant les recevoir d'une autre manière. La Porte (ou sas) nous apparut et nous vîmes de nombreux Êtres à son seuil. La connexion était faite et désormais les communications avec d'autres sphères de conscience était tout à fait possible. On nous fit comprendre qu'il y avait plusieurs endroits sur la Terre où cela se passait actuellement, où cela était en train d'être mis en place, et "notre" lieu était l'un de ces endroits. Non pas bien sûr qu’il soit impossible de capter ce même flux d’information-énergie en d’autres lieux, mais plutôt que cette configuration particulière était nécessaire à la manière dont nous devions les recevoir hic et nunc. En effet, "le principe des échanges vibratoires est basé sur la loi de résonance cosmique, c’est-à-dire que les changements fondamentaux de tout être duel ne peuvent se faire que si l’être est au bon endroit, au bon moment et dans l’état idéal de réceptivité." (Etienne Guillé, Le langage vibratoire de la vie, éd. du Rocher, p.198)
Ce n'était que la première étape. Ce lieu, dont le potentiel n’était pas encore révélé, devait faire l’objet d’une activation impliquant notre concours pour pouvoir atteindre ses qualités vibratoires. Et c'est ce qui se passa quelques jours plus tard. Alors que je sortais du Zome, j'entendis ce que je perçus être le Chant de la Terre. Une vibration où tout était à l'unisson, accordé sur la même harmonique. En me retournant, je vis juste en dessous de l'étoile du Zome et partant du sol émaner un grand rayon argenté que j'identifiai au cristal. Il remontait en direction de l'étoile pour atteindre les nuées. Je rentrai, totalement habité par une intention qui dépassait infiniment mon personnage, pour me placer au centre du Zome face au Gardien du lieu. Les bras levés, les mains en posture d'offrande, j'affirmai : "Je Suis ce que Je Suis et Je reconnais Ce que Tu Es". Une phrase traversa soudain mon esprit : "Le temps d'activation est venu". A ce moment précis, je sus que Nita et moi étions devenus les Gardiens terrestres de ce lieu. En m’abaissant, je frappai par trois fois le sol au centre du Zome avec mon poing. Un tel flux d'énergie se déploya, que j’en restai cloué à terre ! C'est alors que le Zome s'illumina. Mille filaments blancs-argentés descendirent le long des parois à partir du rayon central. Ils prirent rapidement la couleur de l’arc-en-ciel, enserrant dans une maille étroite et lumineuse toute la structure. Le Zome éclairait la nuit, traversé par un grand Rayon s’élevant vers les étoiles...
(Détail Vortex - Stéphane Cardinaux, Géométries Sacrées, T1, éd. Trajectoires, 2004, p.75 et 77)
Les vortex, favorables et rééquilibrants, se différencient par le nombre de leurs spires (de 2 à 7), ce qui influence leur taille, la distance entre leurs 2 centres et l'effet sur le biochamp (ou énergie vitale). 90% des sites sacrés avant 1350 av. J.-C. ont un vortex. "Comme la cheminée cosmotellurique, le vortex est une entité dont l'apparence éthérique est celle de deux spirales reliées entre elles. C'est le phénomène tellurique le plus puissant. Le vortex est une entité qui relie le Ciel et la Terre, il a comme fonction de transférer l'énergie d'un point tellurique à un autre grâce à son lien énergétique. Je n'ai encore jamais trouvé de vortex non accompagné d'une cheminée, leur énergie semble les attirer. A un certain niveau de conscience, il est possible d'activer l'énergie d'un vortex. Le mode opératoire a été jalousement gardé secret depuis des millénaires et se transmettait de maître à disciple dans des écoles initiatiques. Une fois actif, ce flux est même suffisamment puissant pour qu'une personne sensible soit déséquilibrée et doive faire un pas pour ne pas tomber. Par sa puissance, un vortex activé multiplie par dix votre corps éthérique. Vos perceptions sont aussi démultipliées et c'est principalement ce qui est recherché sur ces lieux. Les vortex ont de tout temps été utilisés par les chamans, les sorciers et les prêtres pour amplifier leurs perceptions extrasensorielles et suprasensorielles. Par leur fréquence vibratoire très élevée, les vortex favorisent la transcommunication avec les entités des autres plans. Activer et utiliser un vortex n'est pas sans danger car les rencontres peuvent mal tourner. Ces "portails" entre les plans sont très fréquentés par les créatures de bas astral, il est donc nécessaire de prendre quelques précautions à leur égard." (Stéphane Cardinaux, Géométries Sacrées, T1, éd. Trajectoires, 2004, p.74 et 78) Plus intéressant encore, il existerait des "portes astrales" : cylindres de 80 cm de large sur 180 cm de haut placés sur la spire du vortex, qui permettent de se connecter à d’autres réalités ! (Stéphane Cardinaux, Géométries Sacrées, T2, éd. Trajectoires, 2006)
Pour terminer cette étude, il est probable que nous soyons - et sans doute plusieurs de ces configurations sont présentes et fonctionnent en synergie - en présence d'une ligne de Ley ou/et de "tubes magiques" (que l'on peut confondre), étant à côté du Haut Lieu de Saint-Bertrand de Comminges. Les Lignes de Ley sont "des phénomènes qui combinent les propriétés des courants et des réseaux. Ces lignes droites relient des monuments avec une précision étonnante. Elles ont un début net et une fin nette, et ne sont jamais négatives. Leur orientation est aléatoire. Ce ne sont pas des tubes magiques. Au travers de ces lignes passe un flux continu d’énergie. Elles sont probablement artificielles (même si le savoir pour les installer s’est perdu)." (Stéphane Cardinaux, Bioénergie, éd. Trajectoires, 2009)
Les "tubes magiques" sont un autre phénomène éthérique permettant de relier les vortex des lieux sacrés entre eux. Ce sont des tubes éthériques, cylindriques et rectilignes d'un diamètre de 30cm à 2m, permettant de véhiculer l’énergie des édifices religieux du lieu de culte principal vers tous les autres d'un même ordre (transmission d’information). Ils ont été placés volontairement par magie opératoire et sont de couleur jaune. Il est possible de communiquer par ces lignes et que des entités (ou le corps astral) puissent transiter par elles. "Ces tubes ne sont pas symboliques, ils ont une réalité énergétique. Dès 5000 av. J.-C., ces tubes sont déjà en place. Dans l'Égypte ancienne, ils étaient appelés "tubes heka'', "heka" signifiant simplement "magique''. Les tubes magiques sont en principe fermés. Les activer consiste à ouvrir le tube, comme si vous ouvrez le robinet d'une conduite d'eau. Le flux d'énergie dans un tube activé est parfois si puissant qu'il vous fait basculer. Le choc est parfois tel qu'une personne sensible perd l'équilibre et se retrouve à terre." (Stéphane Cardinaux, Géométries Sacrées, T1, éd. Trajectoires, 2004, p.92)
(Ligne de Ley reliant le Mont Olympe à St-Jacques de Compostelle - http://www.eurogrille.fr/les-lignes-remarquables/ )
Ces références géobiologiques n'ont eu d'intérêt pour nous que celui de nous rassurer sur ce que nous vivions, et d'utilité que celle servant à expliquer le plus tangiblement possible cette expérimentation hors norme au sein de cette surprenante onde de forme. Cependant. Qu'il soit bien clair que nous ne faisons nullement l'apologie des Zomes, ni ne nous posons en référents quant à leurs capacités ou qualités. Chaque expérimentation est unique et dépend d'une convergence de plusieurs facteurs, toujours en rapport avec la fréquence et le mandat des intéressés. Quoiqu'il en soit, il ne fait aujourd'hui aucun doute que notre expérience présente toutes les caractéristiques de l’activation d'un vortex et de l'ouverture d'un Portail. Et évidemment, nous eûmes quelques passagers "indésirables" en transit. Et nous dûmes faire nos preuves. Un état de présence et de vigilance nous était demandé à chaque instant et c'est par une attitude neutre mais ferme, que nous apprîmes à délimiter notre espace, renvoyant chacun sur son plan lorsque c'était nécessaire. Au vu du nombre d'années, nous eûmes finalement peu d'intrusions lourdes, mais elles furent toutes initiatiques. Certaines furent si puissantes, leur présence si palpablement lourde, que l'ensemble de notre corps était parcouru de mille aiguilles et nous dûmes nous y reprendre à plusieurs fois pour qu'elles quittent les lieux. Les autres par contre furent plus insidieuses et plus difficiles à repérer, et c'est par le déséquilibre énergétique qu'elles suscitaient en nous que nous nous en rendions compte. Mais ces entités perturbatrices n'avaient de pouvoir que par nos propres failles et elles nous servirent ainsi à les repérer. In fine, elles furent d'une grande aide pour notre mutation et le tremplin vers une nouvelle fréquence. Tout en ce monde nous sert ou nous dessert, selon le Regard que l'on y porte, et en cela est notre Responsabilité.
LE SARCOPHAGE, STRUCTURE CRISTALLINE
Faisant suite à cette activation, je nous vis Nita et moi portant des vêtements de célébration dans un espace vaste, lumineux et cristallin dans tous ses éléments, jusqu’aux objets d’ameublement. Etait-ce le Zome ? Cela y ressemblait. Mais ce n’était pas lui. Une projection dans notre densité d’une forme présente sur des plans plus subtils alors ? Pourtant, il s’agissait bien de notre habitation. Et dans le même temps, elle s’en distinguait sur divers aspects. Deux ordres de réalité s’interpénétraient. Nous vivions dans un cristal, habité par la paix et la quiétude ! Tout y était ordonné, calme et beau. Un autre temps ? Une forme idéale ? A partir de sa base, toute la structure du Zome se déployait en sens inverse à l'intérieur du sol, le sommet de l'étoile pointant donc vers le centre de la terre d'où remontaient des vibrations de cristal. Le Zome était relié par le haut et le bas aux énergies cosmotelluriques et nous, au centre du vortex, étions traversés par une tranche de Lumière.
Ce n'est qu’un an plus tard que le lieu fut totalement opérationnel, apte à développer sa "fonction matricielle" : recevoir les impulsions-informations issues d’autres plans. Cette structure, associée au lieu, pouvait agréger, concentrer et diffuser différents flux vibratoires. Nos enregistrements rappellent l’émotion que suscita cette nouvelle. Le lieu avait acquis les qualités vibratoires requises. Nita et moi nous vîmes dans un espace blanc, une boule de lumière : l’espace du Zome, mais à un autre degré de perception. Et nous n’y étions pas seuls ! Certains des Êtres qui nous avaient accompagnés jusque là étaient présents, dont Anubis, Passeur et "Saint-Patron" des Gardiens de Porte. De Son sceptre, Il se mit à tracer un cercle tout autour de la structure, parlant dans une langue gutturale que nous ne connaissions pas. Et nous saisîmes que cet espace avait d'autres Gardiens : des "Piliers Célestes" nous dit-on, des Êtres non incarnés venant de plans de conscience élevés. Ces Êtres nous firent observer l’évolution du lieu, mais aussi l’évolution que nous avions vécue en parallèle, ces deux faits étant inextricablement liés. Il nous fut confirmé que nous étions les Gardiens terrestres temporaires du lieu et qu'il nous faudrait apprendre à veiller sur la Porte. Apparemment c'était quelque chose que nous savions déjà faire, mais dont nous devions retrouver la mémoire afin de la réactualiser. Fin janvier 2014, apparurent aux quatre points cardinaux du Zome 4 Lions Blancs. Des Gardiens ! Leurs rugissements d'or, lumineux, éclairaient les ténèbres et nul ne pouvait passer qui n'ait le cœur pur. Ils nous révélèrent que nous étions les Gardiens de l'Est et à ce jour nous n'en avons pas encore compris le sens ! Quoiqu'il en soit, nous étions désormais accordés à cet espace relié au cosmos et à l’intra-terre, mais aussi avec d’autres sphères de conscience présentant des fréquences similaires.
Cette structure cristalline n’est évidemment pas isolée. Assise sur le réseau énergétique terrestre, elle est en relation avec d’autres lieux ou structures présentant les mêmes caractéristiques et constituant autant de relais à partir desquels la fréquence nouvelle pourra être diffusée. De tels lieux ont existé sur Terre par le passé et, comme c’est le cas des multiples constructions pyramidales, certains d’entre eux sont toujours actifs. Ils ont une grande importance puisque c’est à partir de ces structures, qui entrent en résonance avec les flux issus de l’intra-terre et d’autres sphères dimensionnelles, que la surface de la Terre pourra être ensemencée par la nouvelle vibration. Ces lieux, parfois isolés oubliés ou méconnus, parfois gardés par des êtres incarnés, ont été ou sont préparés comme des points d’ancrage des codifications nouvelles contenant les données du futur cycle d’expérimentation. C'est la raison pour laquelle ils constituent des matrices de l'évolution prochaine et il ne fait pas de doute que toutes les structures cristallines sont reliées entre elles.
Nous perçûmes à plusieurs reprises une connexion (ou mise au diapason) de ces lieux particuliers qui, à partir d'une impulsion centrale générée par la grande pyramide, se mettaient en résonance, ce qui décuplait leur puissance évidemment. Au-delà de cette réalité, ces lieux sont les correspondants énergétiques de lieux ou structures se situant sur d’autres plans ou sphères de conscience. Cela nous rappelle l'enseignement de Thoth : "Tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas." Ces espaces se rattachent non seulement au réseau énergétique terrestre, mais aussi au réseau énergétique cosmique, même si cette image est loin de refléter la réalité de ce que nous pûmes percevoir et ressentir. Ils constituent à ce titre des sortes de représentations (implantées dans notre densité) de l’Ordre des Planificateurs, chacun d’entre eux portant la couleur-vibration de la Lignée qu’il représente. Il s’agit somme toute d’une affiliation vibratoire intime, difficile a expliciter et qui est de l'ordre de la "re-con-essence".
Nous ne pouvions clore ce chapitre sans citer Stéphane Cardinaux, dont l'aide fut précieuse pour nos recherches géobiologiques : "Lorsque la conscience fait taire le mental et accède au non-temps, toute la réalité devient une vaste illusion où chaque chose, chaque événement prennent l’allure d’un signe pour qui sait l’interpréter. Le passé, le présent et le futur ne forment plus qu’un, les causes créent des effets et les effets des causes. Tout se superpose et c’est très dur pour notre mental habitué à tout classer. Le hasard n’existe pas, tout est synchronicité. Tout est inscrit à l’avance (futurs possibles), cependant tout peut être changé à chaque instant (le maintenant). Dans ce contexte, les notions de salut, de réincarnation, de vie éternelle prennent un tout autre sens. Le monde se crée en permanence. Nous nous incarnons sans cesse. Le salut est dans l’ici et maintenant." (Bioénergie, éd. Trajectoires, 2009)
Le Salut est dans un Nouveau Regard !
- Détails
- Écrit par Nita-Loris
" Pour ceux qui n'auraient pas lu cette Chronique depuis le début, nous tenons à préciser que le choix d'images décalées et burlesques est voulu. Ce site nous ressemble. De nature enjouée, nous pensons que la Voie est dans la Joie et non l'austérité. Rire de son vécu ne signifie pas le méjuger. Et rire de soi est tout de même plus agréable et plus juste que de se prendre pour un grand Mamamouchi ! "
Le passage, voilà le mot ! Avec sa voie étroite et ses embûches, il mène vers l’autre, l’indicible figure de ce que nous sommes. Nous l’empruntâmes au début avec allégresse - un peu comme les premiers soldats partis pour la Grande Guerre, heureux d’aller crever - précisément le jour de notre établissement dans les Pyrénées. Le temps d’accepter notre condition d’exilés volontaires, le processus initiatique commença à se révéler dans ses différentes dimensions : abandon des représentations (le regard laisse place à la vision), recouvrement de la mémoire, découverte des lignées génétiques et ouverture sur d’autres réalités. Tout cela formait une trame complexe, souvent incompréhensible, mais qui révélerait ses significations au fur et à mesure de l’évolution de nos perceptions. Durant les trois années que dura cette initiation, nous fûmes hermétiquement enfermés dans notre habitation et étroitement accompagnés par la vibration d’Anubis, le "Gardien du passage", le "Maître des clefs", le "Maître initiateur", "Celui qui ouvre les portes" ainsi qu’il nous fut nommé. Mais pourquoi Anubis, alors que Nita et moi ne savions rien de l’Égypte antique, de son panthéon et de ses mystères bien gardés ? C’était sans doute la frontière des représentations connaissables, acceptables par nos personnages à ce stade de leur expérience. Le reste, nous ne le comprendrons en partie que plus tard. L’histoire du temps où les Hommes côtoyaient les Dieux s’imposa ainsi comme une évidence massive, incontournable, une ligne de force de notre expérimentation, qui explique du reste la couleur de notre récit et les multiples références que nous y faisons. Car la vibration d’Anubis ne fut pas la seule. C’était seulement la première d’une longue lignée. Notre initiation débuta donc par la découverte de l’Egypte intérieure, c’est-à-dire la fréquence et la sagesse portées par les Êtres à l’origine de cette humanité.
Tout commença en ce jour du Wésak 2012, neuf mois précisément après notre arrivée dans les Pyrénées. Une succession de visions, aussi vivantes qu'inattendues, nous surprirent fortement tant nous étions bien loin humainement de tout savoir concernant cette époque. Nous n'avions pas non plus de volonté, de désir ou d'attente de quelconques messages ou canalisations. Ce qui suit a été vécu chronologiquement en plusieurs visions, nous semblant décousues de premier abord. Une ouverture venait visiblement de se créer entre ce monde-ci et ce passé-là, dont nous n'étions évidemment pas étrangers et dont nous devions recouvrer la mémoire. Notre long voyage vers nous-mêmes venait de commencer ! Il allait littéralement nous emporter, bien au delà de nos capacités imaginaires, nous demandant l'ouverture nécessaire à la réception de données incompréhensibles. Qui nous dévoileraient peu à peu l'énormité d'une autre réalité, où tout ce que nous croyions n'était que falsification, où tout ce que nous étions devait périr, et où passé présent et futur s'interpénétraient pour se réinventer sans cesse. Mais nous allions devoir payer le prix du passage du savoir à la connaissance, de l'oubli à la mémoire, par l'expérimentation de toutes nos facettes de l'Ombre à la Clarté. Pas une miette de ce nous ne devait y échapper. Ce fut douloureux. Nous chutâmes et nous nous perdîmes maintes fois, pour enfin aborder l'autre face impensable de Ce que nous sommes réellement. Et c'est à l'orée de cet éprouvant et incroyable voyage alchimique, initiatique, que la fréquence éminemment impressionnante de Sabu/Anubis nous apparut...
SABU ET " L'OEUVRE AU NOIR "
"Le nom égyptien Sabu (loup) est sans doute tiré de l'association des particules sumériennes SÀ ("être égal", "guider") et BU4 ("lumière"). Le loup Sabu (Anubis) est bien entendu celui qui guide vers la lumière, ainsi que l'ouvreur des portes secrètes des textes égyptiens. Il a justement pour réputation d'être le Gardien de la Duat inférieure (le Gigal), le lieu caché où les pharaons seront plus tard initiés aux grands mystères." (Anton Parks, Les Chroniques du Girkù III, Le réveil du Phénix, éd. Nouvelle Terre, 2010, note bas de p.77.)
C'est bien l'empreinte de Sabu qui nous suivit pas à pas, nous guidant sans nul doute au cœur de nos ténèbres vers le grand Retournement. Cette mise en sarcophage, dont il était le Veilleur, fut notre "Œuvre au Noir" ("Mélanosis" en grec ou "nigredo" en latin, 1ère phase du Grand Œuvre ou Alchimie). Elle dura exactement 40 mois et s'effectua dans une onde de forme marquée par le 8. La Vie nous offrait les premières clefs d'un parcours alchimique dans la Voie Sèche. Dans le Grand Œuvre, nous trouvons deux voies : la Voie Humide (dite Voie Riche ou Voie Longue et honorable) et la Voie Sèche (dite Voie Pauvre ou Voie Courte et accessible aux simples d'esprits). La Voie sèche, "c’est la terre et la voie des pauvres, des simples et des modestes, de ceux que la nature émerveille jusqu’en ses plus humbles manifestations. D’une extrême facilité, elle ne demande que la présence de l’artiste, car le mystérieux labeur se parfait de lui-même. Cette voie, ignorée de la majorité des alchimistes pratiquants, s’élabore entièrement dans un seul creuset de terre réfractaire. C’est elle que les grands maîtres nomment un travail de femme et un jeu d’enfant. Tel est notre vase de terre, vase méprisé, vulgaire et d’emploi commun, «que tout le monde a devant les yeux, qui ne coûte rien et se trouve chez toutes gens, mais que personne toutefois ne peut connaître sans révélation»". (Fulcanelli, "Les Demeures Philosophales" TII, Le merveilleux grimoire du château de Dampierre, ch.5)
Sous la houlette du Maître initiateur, nous suivîmes donc la voie naturelle et modeste des simples d'esprit, qui se passe de méthodes et de doctrines avec pour seule base la Présence. Comme le dit si bien Fulcanelli, ce vase de terre (le creuset charnel) ne coûte rien, se trouve chez toutes gens, mais personne ne peut le connaître sans révélation. Car cette Voie ne se choisit pas en vérité, elle vient à l'alchimiste lorsqu'il est prêt. Par contre, ce ne fut pas un jeu d'enfant et bien loin d'une extrême facilité ! Tout comme les 40 jours de Yeshoua dans le désert tenté par le "Diable", nous vécûmes ces 40 mois dans le désert de soi tentés par notre Ombre ! Dans le Dictionnaire des Symboles de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, "40 est le nombre de l'attente, de la préparation, de l'épreuve ou du châtiment. Ce chiffre jalonne les écritures bibliques. Yeshoua, représentant l'humanité nouvelle, est conduit au Temple 40 jours après sa naissance. Il prêche 40 mois, sort victorieux de la tentation subie pendant 40 jours, ressuscite après 40 heures de séjour au sépulcre, et apparaît à ses disciples pendant les 40 jours qui précèdent l'Ascension. Ce nombre marque l'accomplissement d'un cycle qui doit aboutir à un changement radical, un passage à un autre ordre d'action et de vie."
C'est littéralement ce que nous avons vécu, mais nous doutâmes souvent de pouvoir en sortir un jour. Sains d'esprit et de corps ! Car l'Ombre, en parfait adversaire Maître du Jeu (je), mena la danse de façon si experte qu'elle nous mit maintes fois à genoux. Toujours surprenante, empruntant des voies inattendues, polymorphe sachant paraître lumineuse, elle manie le mental et se joue des émotions et sentiments tel un maestro incomparable. Mais c'est par Elle que nous devions passer ! Nous devions la débusquer en nous, traverser ce désert de soi et tout perdre de ce que nous étions, au delà même de ce que nous en savions. Jusqu'à nous retrouver un jour désemparés de n'avoir plus ni repères ni références identitaires ou sociales. Tel un creuset vide, ne restait plus en nous qu'un vaste Espace. Et c'est exactement là que nos Êtres nous attendaient. Et c'est là que Sabu nous accueillit.
LE GARDIEN ÉTHÉRIQUE DU LIEU
Quoique sans rapport à première vue, nous ne pouvons parler de Sabu/Anubis sans aborder les Élémentaux, que Stéphane Cardinaux évoque dans son livre "Géométries Sacrées" (T1 et T2), car ce qu'il mentionne nous a tout de même fort troublés ! Mais la particularité du lieu dans lequel Sabu/Anubis s'est présenté (v. chapitre "Le Sarcophage d'Anubis, une Onde de Forme"), nous force à ne pas faire l'impasse sur ce qui nous paraît être aujourd'hui une évidence. Cependant, au vu de notre expérimentation, il nous semble peu probable que ce soit l'unique explication. Elle n'en reste pas moins étonnante !
Les Elémentaux sont des êtres éthériques, invisibles la plupart du temps pour les humains et ils sont légion. Classés selon leur élément d'appartenance, on trouve par exemple les Nains et Gnomes (Terre), les Sylphes et Elfes (Air), les Sirènes Nymphes et Tritons (Eau), et les Salamandres (Feu). Selon Stéphane Cardinaux, "les Grands Élémentaux font environ 3 à 4 m de haut et leur aspect est anthropomorphe avec une tête d'animal. Ce sont probablement les premières entités vénérées par les Anciens, gardiennes des sources, des rochers, des lacs et des cavernes. Leur ressemblance avec des divinités égyptiennes ou hindoues est troublante. Les grands Élémentaux gardent les lieux les plus importants, ceux qui permettent d'entrer en communication avec d'autres plans de conscience. Ils communiquent par télépathie et nous transmettent des informations sur le fonctionnement de certains lieux. Plus un Elémental est grand, plus il est haut placé dans la hiérarchie. En réalité, ce n'est pas le cas, car tous les Elémentaux sont polymorphes et peuvent changer de taille à volonté, mais c'est ainsi qu'ils se présentent. Les Elémentaux supérieurs sont les gardiens naturels de lieux particuliers. Près des hauts lieux cosmotelluriques, les Elémentaux sont nombreux. Il arrive même que l'un d'eux en soit le gardien éthérique, veillant sur l'ambiance du site et contrôlant l'énergie à disposition. Vous ne pourrez pas activer un tel lieu sans son accord."
C'est justement ce qui se passa lors de l'activation du lieu, lorsque Loris faisant face au Gardien du lieu affirma : "Je Suis ce que Je Suis et Je reconnais Ce que Tu Es" et qu'une phrase traversa alors son esprit : "Le temps d'activation est venu" (v. "Le Sarcophage d'Anubis, une Onde de Forme", Le sarcophage-portail éthérique). Cela nous semble confirmer l'explication de Stéphane Cardinaux ci-dessus. Dans son livre "Bioénergie" (éd. Trajectoires, 2009), il évoque les "gardiens élémentaires (48 Hz, champ vital de 2m), qui sont très grands et gardent des lieux (ex : « Anubis », 93 Hz, champ vital de 9m). A comparer avec un profil exceptionnel d’un humain dont la conscience est très haute : 77 Hz, champ vital de 4,8m)." (v. http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/stephane-cardinaux-synthese-geometries-sacrees-tome-1-2004-tome-2-2006-bioenergie-2009-science-et-conscience-de-linvisible-2012) Dans cette histoire troublante, qui nous a longtemps dépassés, il est fort peu probable que tout cela ne soit que "pur hasard" et que le Gardien éthérique du lieu ait justement la forme de Celui qui sans aucun doute nous a accompagnés toutes ces années. C'est humainement sidérant. Mais restons humbles, nous ne savons rien, tout nous dépasse infiniment !
L'APPEL DE SABU/ANUBIS
Tout débuta donc ce 6 mai 2012, alors que nous conversions tranquillement dans mon bureau. Loris se retrouva subitement projeté dans une Cité éthérique cristalline. Soudainement, pénétrèrent en lui tout d'abord des lettres de feu, puis des centaines de lettres, de type hébraïque, égyptien, et des signes inconnus de nous. Il était comme un ordinateur dans lequel on entrerait des milliers de données ! Ce fut un moment très éprouvant pour son corps et son esprit. Nous eûmes quelques jours après l'explication de cet évènement à travers le livre de Reindjen Anselmi "Le Corps de Lumière". Cette dernière explique page 125 : "La glande pinéale et l'hypophyse forment une sorte d'arc-en-ciel, un arc d'énergie allant du vertex jusqu'au front. Le mécanisme de décodage de la langue des dimensions supérieures prend naissance ici. Au début, le cerveau ne peut capter la langue de lumière que sous forme de figures géométriques" et plus loin : "Des lettres de feu ressemblant à des caractères hébraïques, à des hiéroglyphes ou à des équations mathématiques peuvent surgir comme un éclair. Ce sont des communiqués codés du monde spirituel." Cette expérience se reproduira plusieurs fois. L'intensité énergétique était à chaque fois telle, qu'elle le laissait après coup pantelant. Il fallait alors l'aider à fluidifier ses corps afin de faciliter ce passage, puis à le ré-ancrer et le ramener dans cette réalité. Bref, ramasser les morceaux !
Une semaine après, alors que nous étions couchés prêts à dormir, Loris eut soudain la vision d'une pyramide où brillait derrière un soleil d'or. Accroupi sur le pyramidion, le genou droit à terre, un sceptre plein de symboles agissants dans sa main droite, se tenait un Être noir et or avec une tête de chien ou de loup. Du soleil d'or sortit alors un oiseau de feu, tel un Phénix tenant en son bec une rose rouge, qui vola du haut de la pyramide vers sa base. Nous ne comprendrons que le lendemain qu'il s'agissait d'Anubis ! Fait encore plus étonnant, nous découvrons que cette vision ressemble beaucoup à une ancienne prophétie égyptienne que voici (nous n'avons pu malheureusement retrouver le lien-source) : "Le Temple Pyramide d'Ath-Ka-Ptah ("Egypte" en égyptien ancien) a été construit pour abriter l'Arche d'Alliance, la Pierre Ben-Ben d'Héliopolis, les 36 Tablettes de Thot et les 7 Cristaux d'Ath-Mer. Selon la Prophétie, lorsque l'oiseau Phénix, le Ben-Nou, se posera sur la Pierre Sacrée Ben-Ben, la Nuée descendra sur le Grand Temple de Ptah. Du sommet de la Grande Pyramide de Ra-Nertjer-Aa-Neb-Pet le Cristal sacré enverra un rayon de Lumière dans l'Espace-temps afin d'attirer le Feu-Lumière du Cosmos (le Ba de Ra) et le concentrer sur le passage de Soped (Isis-Sirius)." Nous étions rassurés de savoir que cette vision avait un sens, même si nous n'en comprenions ni la signification ni la raison.
La vibration d’Anubis se représenta le jour suivant, au coucher. Mais cette fois, il apparut clairement dans sa fonction de Maître initiateur, tel un humanoïde à tête de chacal, noir et or, nous ouvrant ses bras en un appel, une invitation. Il est difficile de l'expliquer, mais nous ressentions son cœur telle une boule de feu rougeoyante, dont se dégageait une énergie inconnaissable ! Alors que Loris ressentait palpablement la fréquence d'Anubis dans son véhicule, il se retrouva soudain dans une salle de petite taille faite d'immenses pierres. C'était à n'en pas douter une chambre rituelle, un lieu d'initiation. Il n'y était pas seul. Sur les murs, ce qui s'apparentait à une frise reflétait une lumière d'or vivante sur laquelle étaient gravées des divinités égyptiennes. Des sons et des chants rituels accompagnaient cette vision. Puis dans son esprit résonna, éclata même, un mot : "Ptah ! Ptah ! Ptah !" qui apparut au même moment au-dessus de sa tête en lettres d'or sur fond noir. La force de ce mot était telle, qu'elle l'obligeait à le dire et le redire maintes fois à voix haute. Et nous ne savions pas ce que cela signifiait ! Enfin, il vit le ciel se trouer, comme si un voile se dissipait et que la lumière perçait à travers l'ombre. Un immense oiseau blanc, qui ne correspondait à rien de connu de nous, apparut avec sur son dos un Être, à l'armure superbe scintillant d'or et de pourpre et tenant dans sa main droite la foudre.
L'expérience fut très éprouvante. Loris souffrait au niveau du cœur et de nombreux tremblements secouaient son corps. Là encore, nous apprendrons le lendemain que Ptah était le nom d'un dieu important dans la mythologie égyptienne, symbolisant le Créateur, le Maître de l'Ordre Universel. C'était la seule explication que nous pouvions avoir à cet instant. Nous devons, au risque de nous répéter, dire toute notre ignorance d'alors sur ces visions et les raisons de leur manifestation. Avions-nous vécu en ces temps et côtoyé des êtres - dont on sait qu'ils furent effectivement incarnés - représentés ici sous une forme mythique, acceptable pour notre mental tel qu’il était structuré à l’époque ? Avions-nous été initiés aux mystères de l’Égypte et réactivions-nous cette mémoire nécessaire à notre apprentissage en ce temps présent ? Etaient-ce des formes de conscience/fréquence, portant l'essence de tel ou tel aspect de notre expérimentation, nous guidant durant cette mort du moi ? Ou bien l'expression de projections fantaisistes, issues de nos personnages par trop engoncés dans une réalité étriquée, qui constituèrent un potentiel d'évasion ? Qu'étaient donc Anubis, Isis, Thoth et tous ceux qui, issus de cet ordre de réalité, se manifestèrent à nos sens tout au long de ce processus initiatique ? Il revient au lecteur la liberté de choisir, en fonction de sa résonance intime. Pour Nita et moi l'explication fut au croisement des trois premières pistes, tant il est vrai que le recouvrement de certaines mémoires et leur processus initiatique constituèrent les deux faces d'une seule et même pièce. La pyramide d’abord, Anubis ensuite, Ptah/Osiris. Et puis quoi ? Il ne manquait plus qu’Isis, Horus (il nous apparaîtra plus tard) et Thoth pour que le tableau soit complet. Croyez-le ou non, c'est bien ce qui allait se passer !
Le lendemain en fin d'après midi sur l'autoroute, alors que Loris rentrait du travail, il se retrouva soudain projeté dans un lieu d'un bleu profond. Il vit alors devant lui des divinités égyptiennes (dont il ne pouvait que distinguer les ombres) ordonnées en demi-cercle autour d'un trône gravé de symboles où Isis siégeait. Au centre de ce demi-cercle et face au trône, je me tenais près de Loris un genou à terre. Que dire de cette vision étonnante ? Pas grand chose en vérité sur le moment. Cela avait-il un sens ? Ou pas ? Ou uniquement pour nous deux ? Etait-ce une bouffée délirante induite à notre insu afin de nous flatter l'ego ? Etait-ce une parcelle de mémoire réactivée venant du fond des âges ? Etait-ce une image symbolique portant une tout autre signification ? Nous n'en savions rien. Nous manquions d'expérimentation et d'information et, surtout, nous n'étions pas prêts à nous souvenir ! Comme un puzzle, nos visions/voyages mis bout à bout ont fini par prendre sens trois ans après. Comment pouvions-nous nous retrouver embarqués en Egypte ancienne, alors que nous n'y avions jamais porté d'intérêt ni lu la moindre chose ? Nous comprendrons bien plus tard que l'Egypte antique était pour nous une époque-sas, un seuil, qui une fois franchi nous permettrait de remonter bien plus loin, à nos origines. Mais cette expérimentation devait se faire graduellement. Nous n'accoucherions de notre fréquence qu'en intégrant l'enseignement de ce que nous vivions, réactivant par là même nos mémoires et nos Lignées. N'étant donc pas prêts, nous avons pris la vision, l'avons notée et puis laissée. Si cela avait un sens, il nous serait dévoilé en temps et heure. Ou peut-être jamais !
Quelque temps après, dans le courant de la matinée, nous ressentons la fréquence de Thoth qui nous dit en substance "Confiance et abandon." Comprenez. Ce qui est reçu n'est pas de l'ordre du mental, on ne nous dicte pas un message comme en channeling. C'est de l'ordre d'une imprégnation énergétique directe. Nous traduisons simplement au plus juste et avec nos mots ce que cette fréquence nous fait passer à cet instant. Il nous était demandé là un lâcher prise total. Et c'était difficile, car nous avancions sans repère ni compréhension face à des évènements qui nous dépassaient totalement. Ça l'était doublement pour moi qui, navigant dans l'invisible depuis longtemps, ai la prudence et la vigilance chevillées au corps. Il fallait lâcher, mais lâcher quoi, pour quoi et surtout qui le demandait vraiment ? C'est au coucher ce soir là, que Loris ressentit deux présences à ses côtés qui travaillaient énergétiquement sur lui : un Être à la tête couronnée à sa gauche et un reptile à sa droite !
Il se retrouva soudain projeté dans une place lumineuse où le blanc contrastait le blanc. Au centre de cette place se trouvait une sorte de fontaine, d’où jaillissait "La Fréquence Ancestrale de l’Emanation" (c'est ainsi que nous l'avons reçu) ! En demi-cercle autour d'Elle, des têtes couronnées, des Êtres ailés dont il ne pouvait distinguer les visages. Ces Êtres, vêtus de longs manteaux blancs, étaient au service de cette Fréquence primordiale. Loris se leva. Il y avait des présences dans le Zome. Un chant persistant et répétitif. Nous vîmes des amérindiens, des chamans, réunis en cercle autour d’un feu avec des tambours, chantant et chantant la Gloire de Cela. C'est alors que nous reçûmes une fréquence qui nous dit en substance : "Vous avez beaucoup œuvré, il vous reste peu à faire maintenant. Nous vous demandons de lâcher prise totalement afin que les dernières ombres en vous soient diluées dans la lumière." Puis elle nous quitta en nous "disant" : "Allez en paix, en toute confiance et certitude. Nous sommes près de vous, nous n'avons jamais cessé d'être là. Nous vous aimons".
RETOUR EN ÉGYPTE
Une année s'était écoulée et l’Egypte avait laissé place aux souvenirs d'incarnations amérindiennes et aux vibrations liées à l’intra-terre, jusqu’à ce soir de mars 2013. Une fréquence soudainement transmise par Loris me "demandait" de me souvenir de celle qui jadis servait Isis ! Et des actions, de toutes les actions de mon existence qui n’avaient été en vérité que l’expression (l’extériorisation dans notre réalité) de la fréquence portée par la Mère, la Source à l'origine de la création de l'humanité. On ajouta que l’expérimentation vécue dans ma chair était le reflet de Son essence. Et que cette nouvelle étape de ma vie n’était qu’une forme d’intégration plus consciente, plus profonde, de tout ce qui n’avait jamais cessé d’être en moi, de tout ce que je n’avais jamais cessé d’exprimer dans chacun de mes mots, dans chacun de mes actes. Ayant perçu cela, et à son habitude, Loris bascula dans un tout autre espace. Une foule. Il y avait une foule de personnages et il se trouvait sur une place qu'il ne connaissait pas, dans un autre temps. Il avança et se retrouva sous un lourd porche de pierres anthracites. Face à lui, une image saisissante, avançant lentement et longuement comme en zoom.
C'était un pharaon - cet Être en avait en tout cas l’apparence - dont le visage était recouvert d’un masque d’or imitant les traits humains. Il souriait à travers le masque. A son bras, un nouveau né, nu. Le pharaon portait l’enfant Roi ! A travers le porche, Loris voyait et ressentait à la fois de nombreuses personnes qui se dirigeaient toutes vers le même endroit. Il se mit donc à suivre la foule effervescente. C’était un jour de fête, un évènement joyeux, car tous attendaient la Barque Solaire. Au fond de cette voie entourée de bâtiments, il perçut une construction (une fortification ou un pont) qui surplombait un large fleuve et continuait au-delà de la rive plus éloignée. Loris continuait d’avancer et se dirigeait lui aussi vers le fleuve pour assister à l’arrivée de la barque d’Isis. Des soldats, ou des gardiens, étaient postés à proximité du lieu de débarquement. Ils portaient des armures dorées et des casques décorés de plumes blanches cerclées d’un mince liseré bleu. C’est en grande pompe qu’on célébrait l’arrivée d’Isis et de son vaisseau. Au fond de cette scène, encore parfaitement perceptible plusieurs années après sa "réception", il aperçut dans le noir la silhouette de la grande pyramide. Et, sur son sommet lumineux, Anubis qui traçait de son sceptre un cercle autour de lui, d’où émanait son énergie. Et cette vibration se répandait sur toute la surface de la Terre.
Le temps de la reconnexion était arrivé. L'Égypte n'était là que pour nous permettre d'accéder à une autre réalité, originelle. Nous étions entrés en communication directe avec cette sphère de sagesse et nous savions que toutes les informations nous seraient données en temps voulu, et les initiations dispensées le temps venu pour pouvoir agir en pleine conscience et en pleine Lumière. C'est ce que l'on nous répéta à plusieurs reprises. Nous étions en train de déchirer le voile qui séparait nos perceptions et mondes respectifs, et une porte s'ouvrait afin que la connexion s'établisse. Nous avions commencé la part de chemin nécessaire et il ne fit plus de doute que nous étions accompagnés en ce sens. Nous étions conscients des sacrifices consentis à cette fin et nous en ressentions beaucoup de paix et de joie. C'est à cet instant précis qu'une phrase traversa notre esprit et nous bouleversa : "Rappelez-vous le lieu sacré où vous dîtes votre allégeance à cette cause ! Rappelez-vous l'existence de cette réalité, qui est la nôtre et la vôtre." Quelque chose en nous deux, viscéralement et en un instant, se souvint. Et nous emporta. Il était question d'un sceau, d'un pacte solennel, qui n'était autre que le rappel de notre Fréquence originelle, cette Fréquence ancestrale lovée de tout temps dans notre conscience. Et vers laquelle Sabu nous avait conduits. Nous avions réussi le Passage !
- Détails
- Écrit par Nita-Loris
" Pour ceux qui n'auraient pas lu cette Chronique depuis le début, nous tenons à préciser que le choix d'images décalées et burlesques est voulu. Ce site nous ressemble. De nature enjouée, nous pensons que la Voie est dans la Joie et non l'austérité. Rire de son vécu ne signifie pas le méjuger. Et rire de soi est tout de même plus agréable et plus juste que de se prendre pour un grand Mamamouchi ! "
Sabu/Anubis (Inpou, Anpou, Anoup, ou Anoupou en égyptien ancien et Anubis ou Anoubis en grec ancien) est un dieu funéraire de l'Égypte antique, maître des nécropoles et protecteur des embaumeurs, représenté comme un grand chacal noir ou comme un homme à tête de canidé.
Thoth (Thot en grec ancien et Djéhouty, Djéhuti, Djehuty en égyptien ancien) symbolise l'intelligence et la parole divine, représenté comme un homme à tête d'Ibis. C'est le maître de tous les arts, de la science des nombres et des signes. Il sera assimilé à Hermès/Mercure sous le nom d'Hermès Trismégiste et à Hénoch dans l'Ancien Testament.
Mai 2013. Quelque chose avait changé, deux mois auparavant, alors que nous recouvrions la mémoire. Et ce quelque chose nous emmenait au-delà de nos souvenirs liés à l'Egypte antique. A travers des visions plus anciennes, remontant toujours en flots décousus et quelque peu incohérents. Cela commença un matin, de façon soudaine, par l'apparition d'un demi-cercle de 5 à 6 entités, de principe féminin et masculin. Leur vêture était en fait leur signature énergétique, un ton difficilement définissable se composant de trois fréquences de couleur : rose, rouge et violet. Ces entités ancestrales, se disant à l'origine de l'humanité, se présentaient en tant que notre famille originelle. Ils étaient désormais présents dans un champ de réalité, ou de manifestation, où l'on pouvait communiquer. Cela n'avait été possible, dirent-Ils, que grâce au travail qui avait été réalisé en nous, entre nous et dans ce lieu. Ils manifestaient ce que nous ressentions être de la joie, mais qui était en vérité une expression très différente de ce que nous connaissons en tant qu'humain. Nous étions appelés dans la communion avec notre famille d'âme et la réunion de tous nos Moi-parallèles. Ce n'était qu'ainsi que nous pourrions intégrer l'unité, nous expliquèrent-Ils. Puis Ils nous quittèrent avec ces mots : "Préparez notre venue ! Préparez notre venue !"
A la différence de Loris, je suis de nature dubitative et n'accepte d'emblée aucun dire de qui que ce soit. Il me faut auparavant l'expérimenter ou l'éprouver, afin d'en connaître l'essence réelle. C'est dire comme ici je doutais ! Non pas de la réalité de ces entités, mais plutôt de mon appartenance à cette famille. C'est alors que la voix de Loris changea brusquement en un ton très grave et il se mit à parler très lentement, comme s'il épelait les mots : "Il n'y a aucun doute à avoir sur la réalité de notre permanence !" Immédiatement, une énergie impressionnante, puissante et douce m'enveloppa. Cette entité, qui s'exprimait par Loris, m'expliqua que mon attitude n'était qu'une identification humaine et que ce n'était pas sur ce plan de réalité qu'il m'était demandé de me placer. Mais c'était néanmoins une réaction naturelle, parce que le contact avec les Êtres de sa famille d'origine peut être déstabilisant pour la personnalité humaine et l'histoire qu'elle s'est tracée. Ils ajoutèrent qu'il m'avait été donné, tout au long du chemin, maints signes ou présages justifiant un parcours d'existence qui m'appelait à leur présence. Loris respirait de plus en plus fort. J'entendais comme un autre souffle se mêler au sien. C'est alors qu'une incroyable énergie m'enveloppa à nouveau, à l'instant même où Loris avait la vision de deux grandes pyramides d'or sur la planète d'origine de ces entités. Puis il eut un long souffle grave et réintégra partiellement son corps.
Nous devions nous préparer à la communion avec les Êtres de nos origines, notre "famille céleste", mais nous n'en avions pas fini avec l'Egypte. Sans doute n'étions-nous pas tout à fait prêts, puisque nous allions devoir passer encore d'autres Portes, encore d'autres épreuves. Depuis le début de nos expérimentations dans les Pyrénées, nous avions sans cesse été accompagnés par la fréquence de Sabu/Anubis (v. chapitre "Sabu/Anubis, Maître du Passage"). C'est donc sans étonnement aucun que, quelques jours après cette "canalisation", nous Le vîmes apparaître soudain face à nous. Si près que nos visages auraient pu se toucher ! C'est bien Lui qui était à l'œuvre dans ce processus de transformation et de communication que nous vivions. Car Il est le Gardien des Portes. Il garde la porte de la grande pyramide sur Terre, mais également la porte de la pyramide sur la Terre-Mère. Et c'est extrêmement important. Car pour passer de la Terre à la Terre-Mère, il faut avoir subi l'initiation. C'est ce que nous comprenons à cet instant. Et c'est ce que nous allons vivre. Car une grande porte nous apparaît. Elle est entrebâillée. Gardée par Sabu qui en détient les clefs. Et qui nous fixe de Son regard pénétrant...
SABU/ANUBIS ET LA PYRAMIDE " D'OBSIDIENNE "
Quelque chose arrive. Nous le sentons, le pressentons. Une énergie primordiale d'une grande puissance ! Noire, dense et complexe. C'est alors que, dans l'espace de cette force originelle qui s'avance, Sabu/Anubis émet une fréquence d'une voix qui n'est pas de ce monde. Il parle dans une langue que nous ne comprenons pas, mais que nous entendons pour la deuxième fois ("Le Sarcophage d'Anubis, une Onde de Forme", Le sarcophage structure cristalline) et qui résonne de plus en plus fort, emplissant tous nos corps énergétiques. Nous sommes totalement encapsulés par cette vibration, tellement étrangère, tellement lointaine ! Et si notre mental est évincé illico, nos corps eux l’ont bien saisie. Cette énergie nous dévoile une pyramide noire, semblable à de l'obsidienne et pourtant transparente. Au sommet de la pyramide, luisant d’un noir intense, Anubis ! Il nous attend. Il nous invite au passage. Et nous savons qu'il en était convenu ainsi, stipulé dans notre mandat d’incarnation, prévu depuis des éons. Nous devons y pénétrer. Stupéfiant ! Mais pourquoi au juste ?
Tout ce que nous savons, c'est qu'à l'instar d’autres êtres incarnés à cette époque de transition, nous sommes dans ce monde - au bord d’un renouvellement complet de paradigme - afin d’aider au passage vers un autre ordre vibratoire. Telles les troupes du génie arrivant en terrain hostile, nous rétablissons le pont entre deux rives longtemps séparées. Nous redécouvrons la langue oubliée. Nous préparons la voie au gros du "bataillon". Chacun dans son expérience particulière distille, lorsqu’il embrasse l’Être, une infime parcelle de la Source de Vie œuvrant à travers lui. La grande reconnexion procède de l’éveil de chaque conscience et elle est charnelle. Pas de "grandes idées" ou de "grands mouvements". Il s’agit d’un impératif atomique ! Sans doute est-ce donc ce qui nous attend dans cette nouvelle expérimentation, qui nous est proposée par Sabu, Maître du Portail des origines.
A la lisière des dimensions, cette pyramide noire s'apparente à un poste frontière à partir duquel soit on continue la route, soit on rebrousse chemin. Et l’obtention de ce "visa" suppose une confrontation avec sa pulsation. Nous comprenons qu’il s’agit d’une nouvelle chambre de transformation, impliquant une relation intime à la matière sombre de l’Univers, notre propre matière. Ce qui nous permettra, par une compréhension nouvelle des rapports entre les énergies denses et subtiles, de poursuivre notre expérimentation suivant une modalité d’être renouvelée. Car cette pyramide, aussi brillante que noire et perlée de mille reflets transparents, nous rappelle que l’obscur contient sa propre clarté. Et inversement. L’ignorer, c’est se soustraire du mouvement perpétuel de la Vie pour se figer dans les dogmes de ses propres représentations. L’oublier, c’est se laisser porter par les forces de l’inconscient et de la prédation, et s’étourdir dans les sermons du prédicateur des basses œuvres. Qui nous éprouvera jusqu'au fond de la chair, pour nous faire entendre sa supplique. Jusqu’à nous trouver. Et cela peut prendre une seconde ou mille vies. Or. Toute la vie cohabite avec toute la mort à chaque instant. Toute création naît dans/de sa destruction afin d’évoluer vers une autre figure, plus ample d’elle même. Rien ni personne n’échappe au processus de déploiement du Vivant, car c’est Sa Nature qu’Il révèle à chacune de ses manifestations.
Cette force primordiale se présentait afin que, par résonance, nous recouvrions la mémoire. Et certains "codes", logés dans notre ADN, nécessaires à notre expérimentation commune et actuelle. Elle était aussi pour nous une voie de re-connexion, puisqu'elle portait en elle des vibrations-informations liées à nos origines. Si au moment d’écrire ces lignes nous sommes au clair avec certains éléments de cette communication, d’autres nous échappent encore. Il est toutefois évident qu’à cet égard cette pyramide constitua réellement une frontière. Celle au-delà de laquelle les représentations des formes de vie, telles qu'acceptables pour le mental, ont laissé place à ce qu'elles sont véritablement. La puissante vibration, que nous reçûmes par la médiation de la pyramide noire, nous prépara à franchir le Rubicon des images convenues pour observer distinctement une part de nos origines. Et sans doute n'était-elle apparue qu'à cette fin. Nous préparer à voir, par-delà l’Égypte et tout son panthéon. Mais cette rencontre s'avéra être une épreuve initiatique pour Loris. Celle de l'expérience de l'antre profond au terme duquel le regard laisse place à la vision, qui l'a toujours précédé. Car elle saisit un état vibratoire où la clarté et l'obscur participent du même jeu de lumière. Il allait devoir se confronter avec sa part d’ombre, afin de redécouvrir l’Unité en lui. Et par deux fois, son corps et son esprit furent mis à l'épreuve de son Feu.
L'épreuve de la chair
(par Loris)
Une fois perçus le sens et la portée vibratoire de cette apparition, nous vîmes un faisceau partir du sommet de la pyramide "d'obsidienne" - dont l’intérieur était baigné d’une lumière arc-en-ciel - afin de créer et ensemencer des Univers ! Cette pyramide contenait en fait la pulsation primordiale source de création. Et nous étions nous-mêmes une émanation consciente de cette source, qui se déployait en se créant et se transformant à l'infini à travers toutes ses manifestations. Cette Fréquence traversait toute chose. Palpitait en toute chose. Nous en étions autant les fragments que l’entièreté. C'est alors que Sabu/Anubis nous apparut à nouveau, toujours au-dessus de la pyramide. Et une vision soudaine et intense me fit quasi chavirer l’esprit. Je répétais en litanie : "Deux êtres dans la pyramide de Khéops pour l'initiation..." C’était épatant, mais nous n’y comprenions rien ! La pyramide "d'obsidienne" était-elle en relation avec la pyramide de Khéops ? Pas d'autre explication. Rien que cette puissante vibration qui nous traversait et l'intense vision de ces structures pyramidales qui, d'une manière ou d'une autre, nous étaient énergiquement associées.
Nita et moi nous retrouvâmes au cœur de la grande pyramide de Khéops qui vibrait, lorsqu'Isis (ou la fréquence de La Mère) apparut accompagnée de Sabu au milieu d'un cercle de lumière-feu. De ce cercle émanaient dans six directions du Cosmos des rayons, qui étaient en quelque sorte des émanations de leur Volonté. C'est alors que nous "canalisâmes" la fréquence-information de cette pyramide noire. Comme nous l'avons déjà expliqué, ce qui est reçu n'est pas un message dicté comme en channeling, ni même une communication télépathique, c'est plus de l'ordre d'une imprégnation énergétique directe. Nous traduisons donc au plus juste ce que cette fréquence nous fit passer à cet instant : "La chambre de la pyramide vous est ouverte. Vous recevez vos Codes. Vous vous rappelez de votre origine. Vous êtes le Un et Je Suis la Voie ! Paix à vous !" Nous pouvions apercevoir des pyramides dans ce champ de lumière et nous comprîmes que, pour nous souvenir, il nous fallait emprunter le "véhicule" qu'était pour nous cette pyramide noire, car elle contenait tous nos Codes multidimensionnels.
Afin que cette fréquence primordiale puisse investir cet espace-temps ainsi que nos corps, nous devions littéralement corporiser notre acceptation. Du fond du ventre jusqu'au bout des pieds. Nous étions prêts. Alors une spirale de lumière entra par nos chakras coronaux. Elle ressemblait à une spirale d'ADN mais en plus serrée. Elle contenait des Codes, des figures géométriques. Un triangle uni à une spirale et une pyramide se posèrent à l'intérieur de nos corps. Nous étions reliés à l'Egypte, mais bien d'autres Êtres étaient présents. Une foule en vérité, comme si tous étaient représentés. C’est alors que nous entendîmes "Shamballa" ! Prise dans un faisceau lumineux remontant très haut, elle est la représentation de "la Maison", une émanation de la Source. Nous étions en train d'accéder à cet espace nommé Shamballa. Et par son intermédiaire, nous pouvions remonter à nos origines. On nous demandait de nous souvenir ! Je sanglotais. Les pyramides, ces entités, Shamballa, tout était lié dans notre cas. Il n'était pas temps encore, mais nous comprendrons un jour la relation entre Shamballa, nos lignées et notre mandat d’incarnation.
Alors que Nita restait neutre, nullement perturbée par cette fréquence qui se diffusait en accroissant sa puissance, ma rencontre avec ce Feu primordial fut excessivement souffrante ! J'étais physiquement si affecté par la réception de cette vibration, d’une extrême intensité, qu'elle en devint insupportable. Et ce fut certainement, de toutes ces années, l’expérience la plus éprouvante que je vécus dans mon corps. J'étais au bord de la rupture, convulsant, criant, exhalant de long râles et répétant en boucle visions et sensations. Tous mes corps étaient bouleversés. Nita était inquiète, mais il fallait continuer. Nous ne pouvions nous arrêter là. C'était trop tard. Cette vibration primordiale, qui me faisait autant réagir, révélait certainement en moi une part sombre et occultée. Autrement, je ne l’aurais pas vécue ainsi. Ce que l’on (re)connaît, ce que l’on accepte, ne provoque aucune souffrance. Je fus si profondément déstabilisé par cette expérience que je me fermerai un temps, refusant tout autre forme de réception. Mais ce n'était là qu'un premier contact, ouvrant la voie à une autre rencontre, encore plus éprouvante...
L'épreuve de l'esprit
(par Loris)
Suite à cette expérience, je me mis à ressentir le poids de plus en plus écrasant des états de conscience sombres, des naufrages intérieurs. Les tissus émotionnels, se dissolvant, déchiraient en lambeaux mes pensées qui explosaient dans le fracas d'une sourde bataille. Happé par des pensées frénétiques et tourbillonnantes qui exigeaient à chaque instant mon attention, je chavirais souvent sous la furie de leur clameur. Les corps éclatés, le cœur saignant, la raison abolie, je m’enfonçais progressivement dans ce lieu qui ne connaît ni nuit ni jour. La mort, la violence, la douleur, la peur, les émotions, la rancœur et la haine, voilà ce que ce lieu contient. Tout cela et rien d'autre ! Une "u-topie" (du grec οὐ-τόπος «en aucun lieu») sans espérance ni espoir. C’est la pyramide "d’obsidienne" qui fut le siège de cette éprouvante confrontation que je vécus seul, Nita s'étant absentée quelques jours. Au matin de son départ, j'avais aperçu à l’entrée de la pyramide noire Anubis et un grand Dragon noir. Ils m'invitaient tous deux à entrer dans l’antre. A ce moment, je ne soupçonnais pas l'ampleur de la tâche qui m'attendait. Heureusement ! Je me rendis donc dans le Zome, afin de donner mon consentement total.
Le temps est venu. Le temps du renouveau où la Terre des Hommes apparaîtra dans toute Sa majesté, car les Hommes eux-mêmes auront retrouvé leur "royauté", lien indéfectible au principe cardinal qui meut le Tout. Mais avant d'accéder au Jardin tant espéré, nous passerons par le Feu et le Sang. Il n'est pas de place pour deux régents sur un trône, concept même de la dualité. Seule l'essence, qui englobe et unifie tout, peut y résider et c'est le mental qui l'occupe habituellement ; le mental où siège notre part sombre. A chaque instant, il donne vie à des projections agissantes, tournant et retournant sans cesse toute image à sa guise. Il donne l’illusion de la mémoire, l’illusion de la continuité, l’illusion de la personnalité, l'illusion de la permanence. Mais c'est un cavalier sans tête, nous perdant dans les méandres d'une réalité que lui-même ignore, et auquel nous avons donné tout pouvoir pour nous guider. Et pourtant. C'est aussi un précieux allié, dont la finalité sera de nous rendre plus ouverts et conscients à l'essence de notre Être, ce joyau de la Réalité. Alors. Rendons-nous au plus profond de la noirceur abyssale ! En ce lieu, point de lumière. Ceignons nos reins, gardons nos cœurs en place et avançons ! Car nous sommes notre seule Lumière. Éclairons le chemin ou perdons la tête !
« C’est par moi que l’on va dans la cité plaintive. C’est par moi qu’aux tourments éternels on arrive. C’est par moi qu’on arrive à l’infernal séjour. La justice divine a voulu ma naissance. L’Être me fut donné par la Toute Puissance, la suprême Sagesse et le premier Amour. Rien ne fut avant moi que des choses éternelles. Et moi-même, à jamais, je dois durer comme elles. Laissez toute espérance en entrant dans l’Enfer. » (Dante - La Divine Comédie).
On croit savoir. On pense avoir vécu. Mais je ne savais rien. Et je n’avais rien éprouvé. Ignorant ! Je ne me doutais pas de ce qui suivrait. Une longue litanie de souffrance, semblant s'épaissir à chaque instant, s’empara de mes corps et de mon esprit. Il est inutile de lutter contre le maître aveugle, car à ce je(u) il n’est nul pareil. Ce fut pour l'humain une épreuve sans nom et sans mots. Cela dura la journée, l'ancien refusant de laisser place au nouveau. Celui qui fut mon maître était aux abois et utilisait tous les tours possibles pour reprendre le contrôle. Mais il avait révélé sa vraie nature et il n'y avait plus de retour possible. Je me concentrais essentiellement sur le chakra de base, sur lequel j'avais déjà travaillé. Il en émanait une odeur de mort et de sang. Pendant tout ce temps où je voyageais dans le gouffre sombre, j'essayais de transcender ces forces en les unissant aux miennes et en les sublimant. Puis, en fin de journée, ses suggestions n'eurent plus de prise sur moi. Au centre du cerveau, dans la région de la glande pinéale, se créa alors une ouverture dorée d'où émanait un état de paix et de justice. Ce centre, ou espace, ne contient pas le langage mental (avoir la volonté de, ou le désir de, etc.), il est juste immobile, dans la perfection absolue de son équilibre. Au fond de ma grotte, il ne restait plus que des cendres d'où s'établirent des piliers de cristal autour de chaque chakra. Tous mes corps vibraient de cette lumière cristalline. Dans un dernier effort, je concentrais toute mon énergie et fis éclater la gangue qui m'entourait à l'aide de la lumière qui fusait de mes chakras. Ce fut une lumière rouge, de pourpre et de rubis. Ma fréquence me fut alors révélée, ma signature énergétique originelle retrouvée...
Ouverture de la 1ère Porte
(par Loris)
Poème mathématique, délice architectural, boussole stellaire, tremplin dimensionnel, chambre d’initiation réelle et éthérique, la grande pyramide de Gizeh constitue le témoin de plus éclatant de la science sacrée des races galactiques - évolutives - ayant investi ce monde à l’aube de l’humanité. Des centaines de chercheurs honnêtes ont apporté tant de preuves confondantes pour l’esprit, qu’il est désormais difficile de douter qu’il s’agisse de la plus prodigieuse technologie jamais développée (v. parmi une très abondante littérature, Robert Bauval et Graham Hancock, "Le mystère du grand Sphinx", éd. du Rocher, 1999 ; Robert Bauval, "Le Code mystérieux des pyramides", éd. Pygmalion, 2008 ; et sur ses effets scientifiquement prouvés, David Wilcock, "Investigations sur le champ unitaire de conscience", éd. Ariane, T.1 p.191, à comparer avec Anton Parks, "Le réveil du phénix", éd. La nouvelle terre, 2010). Mais il faudra pour cela d’abord mourir à ses idées, entreprise hautement périlleuse s’il en est. Si l’on suit Anton Parks, elle serait née de la plus belle histoire d’amour jamais contée entre Osiris-Isis-Horus. Celle-ci innerve encore toutes les traditions, car c’est la trinité primordiale qui porte le récit d’une codification vibratoire intime, constitutive de chaque être incarné dont elle est l’expression sublime. Des siècles d’oubli, de mensonges et de falsifications n’ont pu altérer la perfection du message et ses multiples significations au plan vibratoire parce que, justement, il appartient à chacun de les découvrir. La vibration archétypale véhiculée par l’association de la pyramide et de la trinité a constitué la pierre angulaire du grand cycle qui s’est achevé en 2012, sous le signe du reptile.
Comment qualifier la relation entre la pyramide noire et la grande pyramide de Gizeh, et plus généralement les dizaines de construction pyramidale disséminées à la surface de la Terre, voire dans d’autres mondes ? Un lien nous avait été indiqué. Nous eûmes nettement conscience, lors de cette expérience comme à d’autres occasions, qu’il existait une relation entre toutes ces structures. Il était clair que la grande pyramide de Khéops s'était "ré-activée" et que les nombreuses pyramides se trouvant dans la galaxie ou sur des mondes parallèles vibraient à l’unisson. Bref, elles communiquaient entre elles. La possibilité, du moins sur Terre, d’une translocation d’énergie entre deux lieux sacrés est attestée par la géobiologie. Activés par l’Homme, ils peuvent être reliés entre eux par des "tubes magiques" ou des lignes de Ley (v. chapitre "Le Sarcophage d'Anubis, une Onde de Forme"). Au reste, il s’avère que l’implantation des pyramides, ainsi que d’autres sites sacrés, est corrélée à la grille magnétique terrestre. Lors de notre expérience, la pyramide de Khéops semble avoir été l'intermédiaire nous permettant ainsi d’atteindre la pyramide "d’obsidienne". S’agissait-il d’un palier, sorte de médiateur énergétique ? Le lien entre la pyramide de Khéops (il faudrait dire d’Isis puisque c’est Elle qui s’en trouve à l’origine), la pyramide noire et la sphère de conscience de Sirius nous sera confirmé peu de temps après.
Une nouvelle porte s'ouvre, gardée par Sabu qui nous invite à y pénétrer. Par cette ouverture, nous apercevons la pyramide de Gizeh et pendant un instant l'image se focalise sur elle. Puis une autre pyramide apparaît, juste à sa droite. Une pyramide identique en sa forme et ses proportions, sauf en une chose : la matière dont elle est composée. C'est une pyramide noire et transparente, qui prend la place de la pyramide de Gizeh. Elle l'incorpore. Il existe une affinité vibratoire entre les deux. Toutes les informations qui nous furent précédemment communiquées ont été confirmées, ce qui est exceptionnel et souligne l’importance de cette révélation. La pyramide "d’obsidienne" se situe dans la sphère de conscience de Sirius. Elle pulse vers la pyramide de Gizeh qu’elle active et qui, en tant que relais principal de cette fréquence émise depuis Sirius, la diffuse auprès d'autres relais qui s’activent de même à son contact. Et de là où nous nous trouvons, nous voyons parfaitement la pierre Ben-Ben qui coiffe la pyramide et la fréquence dont elle est porteuse incorpore tout l'édifice.
Nous savons, d’après les travaux d’Anton Parks (Anton Parks, "Le réveil du phénix", éd. La nouvelle terre, 2010, p.110 - http://www.antonparks.com/main.php?lang=fr), que la pierre Ben-Ben est une pierre noire radioactive issue de Mulge (litt. "l'astre noir" qui se trouvait autrefois entre Mars et Jupiter) - ancienne planète des planificateurs Abgal originaires de Sirius - dont il ne reste désormais que la ceinture d’astéroïdes. Nous accédons alors à un temps fort ancien, où la pyramide de Gizeh se trouvait sur une terre couverte de forêts au climat tempéré. Elle était entourée d'un bassin d'eau carré, et la présence d'eau autour de la pyramide avait un rapport direct avec la pierre Ben-Ben. L'eau, non seulement équilibrait l'énergie de feu émanant du pyramidion, mais permettait aussi de diffuser sa fréquence-information. Ces deux pôles, représentés par l'eau-féminin-yin et le feu-masculin-yang, étaient donc réunis car essentiels dans le processus de transmutation énergétique et de transport de l'information. Nous sommes ici à une époque proche de l’âge de construction de cette structure. La grande pyramide aurait entre 12.000 et 10.000 ans, époque à laquelle le climat de l’Égypte n’était pas désertique.
Soudain, nous avons la sensation de descendre du pyramidion et nous nous retrouvons au sol, face à cette construction. Elle vibre en tout sens et son intense pulsation est physiquement palpable. Elle fait le pont entre le centre de la Terre (l'intraterre), sa surface et la galaxie. Nous apercevons des Êtres qui se dirigent vers cette pyramide. Et nous savons que ces Êtres sont en rapport avec nos origines. Ils sont plutôt élancés, filiformes, leur peau d'une couleur marron-verte est recouverte d'écailles, extrêmement fines et subtiles. Le visage, bien que très différent, est néanmoins humanoïde. Les yeux sont beaucoup plus grands, profonds et pénétrants. Une immense conscience s'en dégage. Ils nous invitent à entrer dans la pyramide. Mais j’ai besoin de m’arrêter, de faire une pause. La vision bouleversante est difficile à accepter. Après ces quelques instants de répit, nous accédons à un long couloir nous menant au cœur de la pyramide, dans une chambre où nous allons nous mettre en connexion avec cette fréquence originelle. Et nous acceptons en conscience d’embrasser cette pulsation de Vie. Dès lors, nos cerveaux se trouvent complètement happés par la vibration véhiculée à travers la pierre Ben-Ben. Cette météorite, de sagesse et de connaissance, transmet cette information et sans doute que l'eau entourant la pyramide permet de la recevoir à un niveau de fréquence supportable pour les humains.
La connexion établie, nous nous retrouvons alors sur un monde étranger d’aspect aride avec, devant nous, plusieurs Êtres humanoïdes à la peau tirant vers le rose (ou est-ce leur vibration ?). Ils sont d'une telle conscience ! Nous avons à cet instant la certitude qu’une voie de communication, utilisable dans les deux sens, a été ouverte. Et cette onde-information transite par le Zome, au point que nous eûmes la sensation palpable que la grande pyramide s’y substituait. Autrement dit, qu’il existait une correspondance vibratoire exacte entre les deux. A l’intérieur de cette onde de forme, dont l’énergie est rose et translucide, Nita et moi apprenons - par la simple pulsion de l'intention - à agir avec cette fréquence. Et il nous faut être complètement dans le don de soi, dans une totale ouverture. Cette connexion passe par trois centres énergétiques, le chakra racine (à la base de la colonne vertébrale), le chakra du cœur et celui du troisième œil.
DJEHUTY/THOTH ET LA PYRAMIDE DE CRISTAL
Quelques mois passèrent suite à notre rencontre avec la pyramide "d'obsidienne". Le temps nécessaire à l'intégration de cette expérience, qui fut particulièrement difficile. Mais une autre initiation se préparait ou, plutôt, la deuxième phase de cette initiation. On nous fit comprendre que nous allions devoir entrer maintenant dans une pyramide de cristal. Celle-ci, nous le comprîmes, se voulait beaucoup plus fluide. Le voile des représentations étant tombé, les communications et les formes de perception devenaient plus directes, plus naturelles. Nous nous apprêtions à vivre un autre type d’initiation, plus consciente, accompagnée d’autres fréquences. Si effectivement la rudesse des deux premières années laissait place à une expérimentation plus apaisée, la maîtrise de ce processus évolutif nous échappait complètement et nos Êtres multidimensionnels continuaient de nous conduire. Nous subîmes ainsi une reconfiguration énergétique, dans laquelle une attention particulière était portée à la glande pinéale.
"Je suis là et je vous accompagne pour cette nouvelle phase d'expérimentation, cette nouvelle phase de prise de conscience." C'est ce qu’exprima la vibration de Thoth/Djéhuti, debout sur le promontoire rocheux d'une terre aride. Un sceptre dans la main, Il nous montrait ce qui semblait être la Terre d’Égypte - alors dénommée le "Royaume des Dieux" ou le "Pays de Lumière" - où nous pouvions apercevoir deux pyramides immenses. Mais c'était plus complexe et subtil que ça, car cette Terre dite "Terre d’Égypte" est en réalité le décalque parfait d’une autre planète (v. sur ce point les recherches de Robert Bauval) ! Une reproduction vibratoire du monde d’origine des Êtres venus ensemencer notre planète. Elles portent la même fréquence. Elles se superposent. Thoth nous "communiqua" avoir été pendant très longtemps le Régent de cette Terre, lorsqu'Osiris partit accomplir son œuvre civilisatrice et qu'Il lui en laissa l’administration. Il la mena donc à la pratique de la conscience de l'origine, en développant la sagesse et la connaissance du Tout dans le cœur des Hommes. Puis cette sagesse fut occultée.
Il ajouta "Mais le temps est arrivé où vous êtes amenés à la redécouvrir, car vous l'avez connue, vous l'avez connue !" C'est ainsi que la pyramide "d’obsidienne" laissa place à la pyramide de cristal, appelant une nouvelle initiation. La première fois que nous l’aperçûmes, elle se situait au dessus du Zome et ces deux structures (le Zome et la pyramide de cristal) partagent du reste les mêmes caractéristiques vibratoires. Il nous fut alors demandé de prendre place dans cette nouvelle onde de forme et d'occuper chacun la Chambre du Roi et la Chambre de la Reine (tel qu'il en est dans la pyramide de Kheops). Tout se passait comme s'il était projeté, en cet instant et en ce lieu, les mystères qui entourent la grande pyramide. Nous vivions à la lisière de deux mondes qui s'interpénétraient pour donner naissance à un tout autre monde, mêlant et unifiant les réalités de ces deux univers.
Nous nous retrouvâmes dans l'une des chambres de la grande pyramide et Djéhuti/Thoth ouvrit à notre intention un livre de feuilles d’or, où d’anciens mystères étaient consignés. Nous reçûmes un "enseignement" (cela ressemblait plus à une intention vibratoire) sur la fonction de la pyramide de cristal. Elle est avant tout un facteur d'amplification de la fréquence originelle de l’Être. Mais pour entrer en résonance avec la vibration portée par cette pyramide, nous devions être tous deux dans un état de pure conscience et de totale dépersonnalisation, ceci dans le but de nous aligner à notre propre fréquence. C’est seulement ainsi que l’association vibratoire peut advenir. Dès lors, la pyramide peut porter (à l’intérieur comme à l’extérieur) l’intention supérieure de ses occupants, tout en la décuplant. Nous comprîmes cependant que seules certaines vibrations pouvaient être véhiculées par cette onde de forme. Uniquement des fréquences allant dans le sens d'une plus grande expansion de vie, d'harmonie et de paix. Tout se passe comme si la structure disposait d'un système de blocage. On ne peut atteindre cette pyramide qu'avec une pure intention d'Amour, une pure intention de Service.
Thoth nous fît alors observer les vibrations agissantes dans la Chambre du Roi et la Chambre de la Reine. Ce sont de pures fréquences pouvant rayonner à travers l'onde de forme. C'est en cela qu'on parle d'intention "pure", dans le sens où rien ne fait barrage entre l'intention et la structure énergétique apte à la recevoir. Cette onde de forme a toujours été fondamentalement présente dans le Zome. Mais parce que nous sommes prêts à la percevoir, elle se révèle aujourd'hui non plus comme un lieu initiatique, mais en tant que pyramide agissante dans l’en dedans et l’en dehors. L'expérimentation y est beaucoup plus subtile et nous ne pouvons être en connexion avec sa fréquence que par la pure intention. Encore une fois, seule une pure vibration est la clef ! Ce que Maître Djéhuti/Thoth nous confirme : "Ce sont des choses que vous savez pour les avoir déjà appréhendées. Vous les remettez en œuvre de manière parfois automatique, sans en prendre conscience."
La pyramide de cristal joue aussi un rôle de médiateur, de pont entre les mondes. Elle permet à certaines formes de vie d'accéder à une dimension qui n'est pas la leur. Grâce à son champ énergétique particulier, elle crée les conditions nécessaires qui permettent leur manifestation sur d'autres plans de réalité. Elle sert à la fois de diffuseur énergétique, de "coque de protection" et de lieu de rencontre et de communication. Par ailleurs, elle œuvre de concert avec l'intra-terre - cette porte ayant déjà été ouverte et le passage rendu possible - afin que cette dernière développe et diffuse son champ de conscience à travers elle. C'est la raison pour laquelle nous insistons souvent sur le fait qu'il ne s'agit pas de channeling dans nos expérimentations, mais de manifestations bien réelles. C'est ce type de rencontre que nous avons vécu plusieurs fois, notamment avec des Êtres bleus, bien présents éthériquement dans le Zome (v. chapitre "Les Révélations du Neb-Ankh - L'Appel de l'Intra-terre...").
Ouverture de la 2ème Porte
(par Loris)
Les vibrations cristallines portées par la pyramide se propageaient désormais dans l'ensemble de l'ossature du Zome. En relation avec les autres pyramides, nous comprenions qu'elle ouvrait non seulement les Portes de l'Espace, mais aussi les Portes du Temps. C'était un véritable Pont, un Vortex spatio-temporel ("Le Sarcophage d'Anubis, une Onde de Forme") et la structure commençait à être intensément vibrante. J'étais mis à rude épreuve par la puissance de ces énergies, difficilement soutenables, lorsque ce message nous fut adressé : "C'est votre complète acceptation, complète humilité et complet Amour, qui permettent l'établissement dans ce lieu et sur ce plan de la structure lumineuse qui est en train de prendre place, et qui décuplera les énergies émises du centre de la Terre et des Etoiles, appelant au renouveau planétaire." Cette pyramide était un cristal complètement pur, un point d'équilibre absolu, un "point zéro". Le point 0 est un vortex énergétique, un espace vide au centre d’un système et son rôle premier est de maintenir la cohésion du système en question. "C'est le point où l'on s'accorde avec le Tout et où l'on a l'accord de la connaissance et l'accord des cellules qui vont élaborer cette connaissance" (Interview de Yann Lipnick, "Rencontre avec un physicien, Pierre Piccaluga", http://www.zomes-concept.com/Jinterview.htm). Et cette pyramide de cristal était en train de "prendre racine" dans le Zome...
Nous nous trouvions tous deux, encore une fois, dans l'entre-deux mondes. Cette pyramide de cristal, qui était aussi reliée à l'Atlantide, émettait une énergie extrêmement puissante, un rayonnement tel que j'avais du mal à le soutenir. Mon corps cherchait sa respiration. C'est alors que nous vîmes de nouveau la Reine de l'Atlantide (Nephtys), de la pyramide dans laquelle elle se trouvait, envoyer un rayon comme un éclair sur le pyramidion, qui communiquait directement avec la pyramide de cristal se trouvant dans le Zome. Beaucoup d'entités étaient présentes avec nous à cet instant, venant d'autres plans de conscience et d'autres mondes. Nous les voyions. Nous les ressentions. Elles étaient là, nous observant et attendant autour du cercle formé par la vibration cristalline. Elles étaient nombreuses, de formes et de couleurs-fréquences différentes. Etaient notamment présents nos frères de l'intra-terre, dont nous ressentions plus distinctement la vibration. L'un de ceux-là, à la puissante et douce énergie, se tenait derrière Nita, la main posée sur son épaule gauche. J'étais si fatigué que nous mîmes fin cette "réception", en état de grande joie.
Trois jours passèrent, durant lesquels nous reçûmes devoir mettre un point d'eau au centre du Zome. C'était l’idée première de Nita, dès que nous avions investi les lieux. Elle avait eu la vision d'une fontaine d'eau vive juste en dessous de l'étoile du Zome, mais n'ayant pu trouver celle qui convenait, elle avait cessé ses recherches. Ce n'était en fait pas le moment. Aujourd'hui, le temps était venu et elle prépara cet acte en conscience avec les Gardiens du lieu. Cette eau, nous le savions, devait servir aux rééquilibrages énergétiques éventuels. Jusque là, c'était le Zome lui-même qui assumait cette fonction, rejetant dans tout le circuit électrique de l'habitat les énergies denses qui auraient pu nous perturber. Nous en étions donc épargnés, mais devions sans cesse palier aux dysfonctionnements de ce réseau : stores, chauffage, matériel électrique tombant subitement et sans raison en panne. Cela se passait en général après chaque visite que nous recevions. Fort rares ont été les êtres à n'avoir aucune incidence sur le réseau, même nous n'y échappions pas ! Nous étions du coup ravis de cette opportunité. Cette eau devait donc servir à faciliter le passage entre le monde extérieur et cette Porte que représentait le Zome, afin que tout puisse se faire dans la douceur et l'équilibre. Alors que Nita était en train de préparer cette eau lustrale (de purification), nous ressentîmes la vibration de l'Aigle et c'est en sa présence que l'acte s'accomplit. On nous confirma que cette eau était bien un véhicule de médiation devant faciliter le passage entre les Portes, lorsque je fus pris de brusques et violents soubresauts. Je me mis alors à répéter en boucle :
" 72. 72. 72. 72. 72. 72...
72 Anges autour de la structure sont présents.
72 Anges autour de la structure, lumineux comme le cristal.
72 Anges autour de la structure forment un cercle concentrique.
72 Anges autour de la structure, ailés.
72 Anges autour de la structure, extrêmement lumineux.
72 Anges autour de la structure, au centre du cercle l'Oiseau blanc.
L'Oiseau blanc au centre du cercle... "
Une structure lumineuse formée de plusieurs pyramides s'avança alors, comme un immense corps de lumière ! L'énergie présente était si puissante, que nous fûmes tous deux extrêmement secoués. Mon corps était toujours pris de tremblements alors que Nita, concentrée, finalisait le rituel de l'eau. Nous arrêtâmes là. Nous avions tous deux passé la seconde initiation et par cet acte clos l'expérimentation. Quant à ces 72 Anges-fréquences, qui étaient-Ils véritablement ? Les fameux 72 Génies de la Kabbale ? Que se cachait-il derrière ces énergies ? Lorsqu'on sait à quel point l'histoire de notre monde a été détournée, il est plus que légitime de se poser ce genre de question ! Et pourquoi se présentaient-Ils soudain, à ce moment-là ? Nous n'en savions rien ! Aucune information ultérieure ne nous sera donnée à ce sujet. Au jour d'aujourd'hui. Mais nous faisions totalement confiance à la fréquence du lieu et nous acceptâmes donc ce fait, comme il était venu.
EPILOGUE
La grande pyramide de Khéops est initiation pour l'humanité. Pour chacun d'entre nous. Loris et moi avons eu la chance d'y pénétrer. Nous savons désormais qu'elle a un rapport direct et certain avec nos origines. Et il en est de même des informations reçues concernant la diffusion du fameux "Sang Real" (Sang Royal ou Saint Graal). Cette reconnexion aux origines est pour nous la condition nécessaire à la mise en place de nos corps de lumière, appelés à être intégrés. Nous ne ressentons pas d'urgence, nous savons seulement que le moment est arrivé. Les Êtres, qui nous accompagnent, nous remémorent qu'un basculement important va s'effectuer dans peu de temps. Il est déjà énergétiquement présent. Ils tiennent aussi à nous rappeler que des structures de lumière se sont constituées dans le secteur où nous vivons et particulièrement autour du Zome. Sur ce lieu existe une Porte de communication impliquant l'implantation de ce type de structure, afin de diffuser sur Terre la nouvelle fréquence que certains nomment "Codes de Lumière". Le Zome s'est véritablement transformé. Ce cristal brut a été informé par les Êtres de l'intra-terre, afin qu'il puisse résonner et vibrer à la juste mesure, nécessaire pour nos communications. C'est maintenant un cristal ciselé nous permettant de rencontrer d'autres entités, tels les Êtres des Pléiades dont la présence déjà effective s'intensifie et se matérialise de plus en plus.
Durant ces sept années (de 2007 à 2014) de petites réussites en grandes épreuves, où nous avons côtoyé le meilleur et surtout le pire de nous-mêmes, nous n'avions fait en réalité que préparer le terrain à tout ce que nous allions vivre désormais. Malgré nos capacités à tous deux, nous ne pouvions aborder d'autres réalités si inconcevables, sans nous être auparavant départis de tout ce qui voilait notre regard. Un tuyau ne peut faire passer d'eau s'il est trop encombré. Et s'il est souillé par de nombreux résidus, nous ne récolterons qu'une eau impropre à la consommation, bien loin de sa fréquence d'origine. Tels nous sommes en nos formes. Humainement, la voie nous a semblé longue et rude. Et maintes fois nous avons cru ne pas pouvoir passer, ne plus pouvoir continuer. Et encore maintenant, l'isolement que nous vivons depuis plus de cinq ans étant à l'extrême limite du supportable. Mais nous arrivons à la fin de ce pan d'expérimentation. Heureusement. Cette préparation était cependant nécessaire. Inévitable dans notre cas. Et ce qu'il advint par la suite, nous laissa tous deux sans voix. Et sans voie ! Le travail de fond entrepris sur notre structure, et inévitablement en parallèle sur celle du Zome, était terminé. Et la Porte multidimensionnelle du lieu effective. Nous avions passé toutes les épreuves requises et étions désormais prêts pour les rencontres et révélations qui vont suivre. L'aventure ne faisait que commencer !